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8 mai 2008 4 08 /05 /mai /2008 22:43

Aménagement du domaine par l’abbé Saunière.

Depuis la fin des travaux de la Villa Brithania, qui est maintenant chichement meublée, l’abbé Saunière agrandit son domaine en faisant construire des jardins d’agréments, un bassin ou nagent des poissons exotiques et même un petit zoo, tout ceci s’étendant jusqu’au pied de la tour Magdala.

La tour Magdala dont je vous ai déjà parlé et une des deux tours que l’abbé fait construire à chaque extrémité du mur d’enceinte du village, qu’il va faire rénové dans la foulée.

 

La deuxième tour n’est pas un copie de la tour Magdala, surmontée d’une verrière, il semble que celle-ci qui servait plutôt de serre, n’ai pas le même attrait stratégique, que sa grande sœur d’où la vue est imprenable et permet de voir ce qui arrive et part du domaine de l’abbé Saunière, La surveillance, une marotte de notre curé, car la fenêtre des commodités de la Villa Brithania est ainsi faite que l’on pouvait scruter la rue sans être vu.

L’abbé Saunière passe beaucoup de temps dans sa bibliothèque, qu'il a installé dans la tour Magdala, ou il a une collection d’ouvrage rares qu’il a acquit un peu partout et souvent à grand prix, comme sa collection de timbres du monde entier.

L’intérieur est magnifiquement réalisé, avec des meubles en bois précieux, comme cette bibliothèque. 

 










Le sol lui est composé d’un dallage magnifique de 64 dalles formant un carré de 8 dalles par côté. Une des dalles devant l’escalier de bois est différente, elle comporte un point noir en son centre, alors que les autres sont toutes parfaitement identiques, (cela a-t-il une importance ?)







L’escalier qui mène à la tour de garde au sommet de la tour compte 22 marches, il y a 22 créneaux, sur sa périphérie, et 22 marches également pour ressortir de la tour.

En haut de la tour une meurtrière judicieusement placée permet en l’alignant avec la boule de la rampe d’escalier (qui a une forme rappelant une pomme de pin) de voir la position de la Grotte Sainte Madeleine.  

Quand Bérenger Saunière avait réalisé les plans de la Tour, il l'avait baptisé   " Tour de l'Horloge ".

C'est au sommet de la tour Magdala, le 17 janvier 1917, que Marie Dénardaud découvre Bérenger Saunière qui vient d’être frappé par une attaque. Transporté au presbytère, il décédera le 22 janvier 1917 à 5h00 du matin.

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8 mai 2008 4 08 /05 /mai /2008 17:43

Une des premières constructions remarquables de l’abbé Saunières est la Villa Bethania.

Fin 1900 Bérenger Saunière demande à un architecte de diriger les travaux de construction d’une Villa dans le village : la Villa Béthania.

L’architecte ne fait que superviser les travaux, les plans sont réalisés, par l’abbé Saunière lui-même.

Cette villa était selon un mémo de l’abbé Saunière, destinée à sa retraite,

Mais il explique après qu’il désir en faire don l’évêque de Carcassonne, finalement il en sera tout autre.

Un extrait du mémo de l’abbé Saunières, ou il parle de la Villa Béthania.

  

….je l'ai construite d'abord pour moi, désirant terminer mes jours dans mon ancienne paroisse, et aussi, pour remplacer le presbytère dont j'étais comme tous les autres curés, menacé d'être dépossédé par le Gouvernement* Enfin, dans ma pensée, cette maison, une fois terminée, j'avais l'idée de l'offrir à Mgr l'Évêque de Carcassonne avec toutes ses dépendances, pour en faire une maison de retraite en faveur des prêtres âgés et infirmes, où rien n'aurait manqué : le bon air, une chapelle pour la messe, une bibliothèque et un cabinet de lecture, des jardins variés, terrasses, une véranda, des promenades et même une place réservée dans le cimetière paroissial après leur mort ".

* Béranger Saunière fait allusion à la loi de 1905 sur la  Séparation de l'Église et de l'État

 

Quelle destinée réelle pour la Villa Béthania ?

Fin 1901 les travaux sont achevés et la : réapparaît Marie Dénardaud.

Si la Villa on s’en doute, a été entièrement financé par les fonds personnels de l’abbé Saunières, ce que l’on découvre, c’est que tous les terrains où il réalise les travaux sont au nom de sa servante : Marie Dénardaux.

Béranger Saunière, n’avait aucun bien à son nom, mais une sorte de legs mutuel entre sa servante et lui semble avoir été trouvé par les héritiers de Marie Dénardaud.

De toutes ses réalisations, (donc de grosses dépenses à chaque fois) aucunes n’est à lui.

De l'extérieur, la Villa Béthanie montre  l’aspect d’une maison bourgeoise de l'époque. (A mon gout, pas très belle) un style renaissance qui fait insulte à l’architecture locale.

Elevée sur quatre niveaux.

Un sous sol, composé de caves et d’une cuisine d’été.

Un rez-de-chaussée, avec un salon, et une salle à manger, une cuisine et un escalier permettant l’accès aux étages.

Au premier étage, deux chambres avec un cabinet de toilette chacune. Et une pièce servant d’office et de sacristie.

L’une des chambres du premier étage est celle de l’abbé Saunières, mais il semble qu’il n’y a jamais dormi.

Et au deuxième étage, des greniers, et au moins une chambre ou dort Marie Dénardaud. Car c’est la famille Dénardaud qui s’installe dans la maison.

On dit qu’une cousine de Marie Dénardaud, a vu des lingots d’or rangés sur des étagères du sous sol de la Villa Bréthania.

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7 mai 2008 3 07 /05 /mai /2008 21:54

La tour Magdala.

A Rennes-le-Château, il y a un endroit ou plutôt un bâtiment extraordinaire, la Tour Magdala.

Assurément  le bâtiment le plus célèbre  de cette bourgade.

Une pièce maitresse du fief de l'abbé Saunière, qu’il a fait édifier quelques temps seulement après la rénovation de l'église vers 1900.

Cette tour plutôt petite, est construite sur le modèle des tours médiévales,(Accordons lui un style néogothique). Elle domine la région, permettant d’apercevoir depuis le haut tous les villages environnants.

Elle est visible d’endroits très éloignés de Rennes-le-Château.

Béranger Saunière a installé sa bibliothèque dans la tour Magdala qui est également son lieu de méditation.

Aujourd’hui dette édifice est devenu l'emblème de Rennes-le-Château.

C’est un endroit que l’on qualifie de mystérieux car il symbolise à la fois la richesse de l'abbé et ses goûts étranges, voir diaboliques.

Nous allons voir cette tour plus en détails, dans peu de temps.

 

Mais un petit point pour nous mettre en situation et quelques éléments qui constituent une base à cette histoire devenue une des grandes énigmes de notre époque,

 

Depuis des années l'Abbé Bérenger Saunière reste une énigme pour, non seulement, les historiens, car rappelons nous que le village est une position géographique et stratégique, dans l’histoire, mais parce que l’abbé Saunière semble être, (avec ses constructions et ses rénovations), le centre d’une énigme qui laisse des apparaître une multitude de questions.

D’où viennent les fonds, qui semblent plus que conséquent pour l’époque ?

Ces fonds qui lui permettent des travaux gigantesques ; mais également une vie dorée ?

Pourquoi ce comportement étrange avec sa « complice » Marie Dénardaud ?

Nous verrons aussi que Le curé de Rennes-le-Château, c’est beaucoup déplacé,

Mais ou ? Et pourquoi ? Et surtout qui rencontrait-il ?

On sait que pendant son exil, demandé par la municipalité, il fait des rencontres, avec un royaliste grâce à son frère Alfred, qui habite à seulement quelques kilomètres. Alfred est le précepteur des enfants du marquis de Chefdebien,

Le marquis se trouve être un intime du comte de Chambord, l’héritier du trône de France.

Une rencontre très important pour le royaliste qu’est Béranger Saunière, qui va pouvoir approcher et fréquenter un royaliste proche du pouvoir

Mais notre curé en exil est sans ressource et vraiment dans le besoin, il se rend alors à Paris ou il obtient un don important de la comtesse de Chambord, on parle de 1000 francs or.

Il commence alors les premiers travaux de rénovation de l’église, et avec eux les premières découvertes.

La première qui est rapportée, c’est qu’en déplaçant l’autel, les ouvriers ont trouvé des pièces d’or et des parchemins.

C’est à partir de ce moment que les travaux et les dépenses vont s’enchainées et dans des  proportions exagérées, pour un curé supposé modeste.              

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6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 21:19

pkoto internet.
Bérenger Saunière

(1852-1917)

Né le 11 avril 1852.

Il est l’aîné d'une famille nombreuse.

Fils de Joseph (1823-1895) et de Marie Hugues (????-1909).

Joseph Saunière est surnommé "Cubié".

Il a été Maire de Montazels, directeur de la minoterie et régisseur du château du Marquis de Cazermajou puis de Monsieur de Bourzès.

Marié en 1850, il est noté sur son acte de mariage, que Joseph Saunière est "Trésorier de la Fabrique de l'Eglise de Montazels".

Joseph Saunière est un homme qui est un peu étrange, ce qui me fait dire cela, c’est les différentes professions qui sont inscrites sur les actes de naissance de ses enfants.
Sur l'acte de naissance de Bérenger, il est "Propriétaire à Montazels".
Sur l'acte de naissance d'Alfred, il est "Maire et propriétaire à Montazels.
Sur l'acte de naissance de Rosalie, il est "Agriculteur".
Sur l'acte de naissance de Barthélémy, il est "Propriétaire et régisseur du château".
Sur l'acte de naissance de Louise, il est "Maire et propriétaire de Montazels".

François Fulgence (1850-1850)
François Bérenger (1852-1917)
Jean, Marie, Alfred (1855-1905)
Rosalie Marie Thérèse (1858-1858)
Victor Barthélémy (1859-1860)

Bathilde, Joséphine (1861-????)

Martial Silvestre (1863-????)

Rose Marie Adeline (1867-????) épouse Sylvestre
Léonie Marie Anna (1870-1870)
Joseph, Marie, Daniel (1872-1895)
Louise Thérèse (1878-????) épouse Marty.

 

Bérenger est, indépendant, intégriste, rebelle à toutes hiérarchies on le dit même insolent, très athlétique avec un regard perturbant.

Il fréquente l'école St Louis à Limoux.

Il rentre au séminaire de Carcassonne en 1874.

Il fut ordonné prêtre en juin 1879.

Vicaire d'Alet du 16 juillet 1879 à 1882.

Curé du doyenné du Clot (282 habitants) de 1882 à 1885.

Il est professeur au séminaire de Narbonne, qu’il doit quitter suite à des problèmes de disciplines avec sa hiérarchie, il est rétrogradé et nommé à Rennes le Château le 1er juin 1885.

Il se montre anti républicain et se voit obligé, par la préfecture, de quitter ses fonctions de prêtre de la paroisse de Rennes-le-Château du 1er décembre 1885 à juillet 1886.

Il redonne des cours au séminaire de Narbonne.

Grâce à une demande insistante de sa municipalité, le préfet revient sur sa décision.

Et en mai 1890, il a à son service, en plus de Rennes-le-Château, une autre paroisse celle  d'Antugnac où il célèbre la messe tous les dimanches.

Je ne sais pas pourquoi on ne découvre que vers l’âge de 50 ans qu’il a un œil de verre. (?)

Il démissionne de sa fonction de prêtre le 1er février 1909 et sera en 1911 complètement déchu par le Vatican qui l'accuse de trafic de messe (on y reviendra)

Ça fin est plutôt  étrange puisqu’il meurt en quelques jours des suites d’un AVC, sans argent, après avoir vécu très sobrement.

Quoi d’étrange me direz vous, à voir un prêtre vivre sobrement ?

Tout simplement parce qu’il vient de dépenser une fortune en or pour rénover une église, quelques endroits de culte, et une tour : La tour Magdala.


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6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 13:53

BIOGRAPHIE.

Marie Dénarnaud la bonne du curé.

1868 -1953

Née le 12 août 1868 à Espéraza

Fille de guillaume Dénardaud (1840-1930) et de : Alexandrine Marre (1844-1936).

Elle a un dévouement total pour l’abbé Saunière, et ce, jusqu'à la mort de celui-ci, puisque jamais elle ne trahira le secret de l’abbé et du trésor.

Mais il est sur que Marie Dénardaud connaissait le secret et même surement dans sa totalité.

On lui connaît 3 frères et une sœur, (Une sœur de lait semble t-il).

 Barthélemy (1872-1944)

Antoine Dieudonné (1878-1878)

Jean (1881-1881)

Julie Fons (????- ????) Qui est Chapelière à Espéraza. Une fabrique de chapeau à la mode « parisienne ».

Elle prend très vite une grande place dans la vie de notre curé, dés 1891.

 

Elle est sa servante dévouée, même une « complice », qui va être le témoin, et l’actrice privilégiée  des découvertes de notre abbé et ce depuis le début.

Le bruit va bon train, dans le village que Marie dénardaud que les villageois surnomment « La Madone du curé » et l’abbé Saunière ont d’autres rapports que ceux autorisés par l’église, facile me direz-vous mais on va se rendre compte qu’ils ont une vie un peu « spéciale » quand même. (Moi je suis pour le mariage des prêtres, enfin je vous dis ça, pas de rapport avec l’affaire qui nous intéresse).

Elle est aperçue une nuit et même plusieurs, éclairant l’abbé Saunière qui pioche gaillardement dans le cimetière autour de l’église. Chose choquante pour le témoin anonyme qui observe la scène secrètement, les cercueils sont ouverts et les os sont entassés pêle-mêle dans l’ossuaire

Ils fouillent principalement autour de la tombe de la marquise de Hautpoul.  

Ils fouillèrent ensemble tous les petits recoins de l’église, ce qui commence à irriter le maire, ses conseillés et la population.

Evidemment, cela n’est pas courant comme agissement, et surtout que cherche t-ils ?   

 

Béranger Saunière construit dans le jardin de l'église une reproduction de la grotte de Lourde.

Il utilise des pierres qu’il va chercher avec une hotte, dans un ruisseau tout proche, près de la grotte « Marie Madeleine » que l’on nommait à l’époque grotte fournet ou fournier.

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6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 08:07

BIOGRAPHIE

Monseigneur Félix Arsène BILLARD

1829-1901

Évêque de Carcassonne de 1881 à 1901, Monseigneur Félix Arsène BILLARD, semble avoir une place importante dans la vie de l’abbé Saunière à qui il accordait beaucoup de considérations.

Il avait apparemment un gout prononcé pour l’argent et l’abbé Saunière semblait en avoir suffisamment pour attirer cette bienveillance dont  le gratifiait l’Evêque.  

Monseigneur Félix Arsène BILLARD est né le 23 octobre 1829, à Saint Valéry en Caux, (Seine Maritime)

Son  père est tonnelier et sa mère mercière. Il réalise le plus gros de sa carrière comme ecclésiastique en Normandie sa région natale, avant d'être nommé Évêque de Carcassonne en remplacement de Monseigneur LEULLIEUX.

Il réalise la construction d'une église à Caudebec les Elbeufs vers 1870 et participe activement à la restauration du monastère de Prouille.

L’abbé Bérenger SAUNIERE a donc à ses côtés un homme d’expérience dans les travaux de bâtiments de culte.

Son intégrité et son honnêteté sont mise à caution, même de son vivant.

Citons une phrase de l'un de ses plus fervent  détracteurs, l'abbé LABORDE : "Mais la caisse aurait eu à sa tête un malhonnête homme d'évêque que ce malhonnête homme ne s'y serait pas pris autrement que l'a fait, pendant 19 ans, sa grandeur Monseigneur BILLARD".

On lui reproche la gestion (On parle même de détournement) de l'argent de la caisse de retraite du diocèse et la captation d'héritages, ce qui lui valut au moins un procès en 1891. Ce dernier a été intenté pour une succession d'un montant de 1.200.000 francs or

A titre informatif les travaux réalisés par l’abbé Saunière sont chiffrés par lui-même vers 1911 à 193 150 francs or.

Il est d’ailleurs suspendu fin 1899 pour3 mois pour sa gestion plus que douteuse des fonds du diocèse.

à la suite d'un accident vasculaire cérébral, il passa ses dernières années impotent, aux bons soins des Sœurs.

Il meurt le 3 décembre 1901.

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6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 07:17

Rennes-le-Château n’est plus qu’un village d’éleveurs et de cultivateurs.

Mais il a une histoire riche.

Rennes- le-Château, petit village tassé en haut d’une colline portait le nom de Rhéda (Un nom surement d’origine celtique, mais pas certain, peut-être même Wisigoth d’ailleurs, je n’ai rien trouvé de précis).

Il était le chef lieu du comté de Razès. Lieu choisi pour des raisons topographiques, donc stratégiques. Comté qui était alors administré par Guillaume de Gellone, (qui succède aux envahisseurs musulmans vers la fin du VIIIe siècle)  mis en place par Charlemagne, pour qui, il avait très valeureusement combattu, principalement au côté de Roland à Roncevaux. 

Il est difficile de bien connaître le passé de Rennes-le-Château, village que l’on a peu cité dans les écrits anciens, pourtant il est évident qu’il était un endroit d’une grande importance stratégique.

Avançons au XIIIe siècle, au moment de la croisade des Albigeois, on trouve des textes qui parlent de la prise d’au moins deux châteaux environnants, mais on ne parle pas de Rhéda qui ne semble plus être le lieu stratégique tant convoité 400 ans plus tôt. On parle maintenant de la province du Languedoc.

Ses derniers remparts tombes au XIVe siècle.

 

Terminons maintenant la partie historique et géographique (Provisoirement car j’y reviendrai surement).

Notre charmant village est plutôt délabrés en 1885 au moment de l’arrivé de notre bon curé. (Le curé que l’on nomme souvent dans nos campagnes, le noir à cause de la couleur de sa soutane, ou le corbeau parce qu’il  battait la campagne en criant à la cantonade : Crois ! Crois ! Crois !.....).

De nombreux vestiges Gallo-Romains datant du Ier siècle subsistent encore aux alentours et on y trouve la ville thermale de Rennes-les-Bains.

Couiza est un axe de communications important, les Templiers et les Cathares y sont omniprésents, comme ils le sont également dans tout le Languedoc.

Il est très difficile pour le néophyte que je suis de reconstituer l’histoire de ce lieu précis. On sait que les Celtibères, les wisigoths, les sarrasins, les gens d’Oc se sont succédés sur ces terres.

On trouve dans la région de Rennes-le-Château, un grand nombre de légendes, sur des bergers égarés, des familles Wisigoths en fuite, des faux monnayeurs, mais et c’est ce qui est le plus intéressant, on y raconte beaucoup de légendes rattachées à des trésors, on parle même de l’or du diable.

L’abbé Saunière qui était un « étranger » puisque né dans le village  de Montazels, village voisin de  Rennes-le-Château, connaissait très certainement toutes ces vielles histoires.

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6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 06:39

Commence avec cet article, une série qui va vous relater, tout ce que j’ai collecté au cours de ces dernières années, sur l’abbé Saunière et son hypothétique trésors, mais aussi, ces travaux, ces proches, en vérité ; sa vie.  




Regroupés  dans une catégorie: Rennes-le-château.




La nomination de l’abbé : Béranger Saunière.

L’évêque de Carcassonne, Monseigneur BILLARD, vient de nommer un nouveau prêtre pour un petit village de l’Aude, qui ne compte pas plus à cette époque que 400 paroissiens. Nous sommes le 1er juin 1885.

Le jeune curé, n’a alors que 33 ans, il arrive Rennes-le-Château par une chaude journée de cette fin de printemps par la route de Couiza.

Voila donc l’abbé Béranger Sauniére, prêt à occupé la cure de sa paroisse. Malheureusement la cure, comme l’église de se village est en très mauvais état, il sera donc contraint dans un premier temps de loger chez des habitants de la commune. Le temps pour lui de faire quelques travaux pour rendre vivable et son habitation et le lieu de culte. Et on peut dire que dans ce domaine il y a eu un miracle. C’est le départ d’une histoire incroyable.

Histoire qui va très vite porter un nom accrocheur :
« le trésor de l’abbé Saunière ». 

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