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3 août 2008 7 03 /08 /août /2008 15:15

Le chemin de croix de Rennes les Bains.

Un chemin de croix différent de ceux que l’on a observé jusqu’à présent.

Il a été retiré en 1973 par le diocèse de Carcassonne et remplacé par des croix de bois simple et sans marque particulière, donc intéressons nous au chemin de croix originel.

Effectivement, je le trouve sobre, pas de soldat romain, pas de mise en scène « hollywoodienne », seule la station XIV, comme celle des autres paroisses, nous laisse une interrogation.

Le Christ est ici représenté avec une auréole sur toutes les scènes, ce qui est disons le normal et traditionnel.

Mais un détail ne peut nous échapper et je pense qu’il n’a pas échappé non plus à l’abbé Boudet.

On voit sur la station XIV le christ, momifié, entouré de bandelettes, ce qui nous ramène à des pratiques Egyptiennes, rien à voir avec les évangiles, plutôt curieux.















Les photos du chemin de croix sont dans l'album RLC 2



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31 juillet 2008 4 31 /07 /juillet /2008 05:34

Le calvaire PETRUS.

Du déjà vu.

La première partie de ce texte "IN HOC SIGNO VINCES" est une expression latine connue, qui se traduit comme suit : "PAR CE SIGNE TU VAINCRAS".

La devise de Constantin en fait.

Mais l’abbé Saunière on s’en souvient a détourné la citation en rajoutant "LE"

Ce qui donne à Rennes le Château "PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS".

Bien sur on parle ici du signe de croix, un ange au dessus du bénitier montre Asmodée.

Mais pourquoi Jean Vié a-t-il voulu ce calvaire ?

Peut-on y voir une allusion à l’église Notre Dame de Marceille ?

En effet une vierge à l’enfant se trouve sous le porche de cette étrange église.

Une suite difficile pour les interprétations.

La seconde partie du texte est très étonnante car aucune traduction directe n’est convaincante.

IN
HOC SIGNO
VINCES

DOMINO VIE RECTORE
PETRUS DELMAS FECIT

1856





Littéralement on obtient ceci :

 PAR LE MAITRE VIE RECTEUR

FAIT PAR PIERRE DELMAS
1856

Le mot DOMINO peut prendre le sens "Maître du lieu "  ou peut-être " maitre de la maison  " ou encore "Seigneur" mais ce "  titre "  est réservé à Jésus Christ généralement.

Quand à  " RECTORE "  il ne convient pas vraiment pour un prêtre.

De plus l'absence de ponctuation peut nous permettre une interprétation secondaire.

 

AU MAITRE VIE

FAIT PAR LE RECTEUR PIERRE DELMAS
1856

Pierre Delmas est soit le créateur du calvaire, soit un prêtre qui aurait participé a sa réalisation ou créé.

Gérard de Sède nous offre une lecture plus phonétique :

DOMINO VIAE RECTORE :

AU MAITRE QUI MONTRE LA VOIE

FAIT PAR PIERRE DELMAS
1856

Peut être plus sérieusement, une association des deux mots: « RECTORE  PETRUS »

Et la traduction en est  " PIERRE LEVEE ", et la on arrive au menhir des Pontils très connu dans cette région et qui est proche du tombeau des Pontils.

Pourquoi un prêtre aurait-il créé un calvaire à son propre nom, de son vivant ?

Je pense que comme l’on fait l’abbé Boudet et Béranger Saunière, il voulait à sa façon laisser des indices sur ces investigations et ses trouvailles.

A suivre.

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30 juillet 2008 3 30 /07 /juillet /2008 17:54

Le calvaire PETRUS
Première curiosité :

Le porche

Une croix en fer sur un socle pyramidal se trouve à l’entrée de l’église.

Datant de 1856 et mise en place par Jean Vié le prédécesseur de l’abbé Boudet.

Appelée aussi « croix aux roses » cette stèle n’est pas contrairement à son nom Rosicrucienne. Gérard de Sède dans son livre semble pourtant le croire mais les ornements floraux sur cette croix ne sont pas des roses mes du lierre, qui symbolise la vie éternelle.

Deuxième curiosité :

Ce n’est pas Jésus sur la croix, mais la vierge à l’enfant, plutôt rare comme représentation.











Troisième curiosité :

La date 1856. En effet Jean Vié a la charge de la paroisse de Rennes les Bains de 1840 à 1872. Donc 16 ans après sa mise en place par le diocèse et 16 ans avant son décès. Alors coïncidence ?

Peut être pas, il suffit de regarder les inscriptions sur la stèle pour comprendre qu’il y a un message et des similitudes avec les reproductions et les modifications faites par l’abbé Saunière dans son église de Rennes le château.

Ce qui confirme ce que je pense, l’origine du secret est Rennes les Bains et non à Rennes le château.

En ce qui concerne un éventuel trésor en tous cas.

Quatrième curiosité :

Pourquoi Jean Vié a-t-il rédigé ce texte 16 ans avant sa mort et à son nom ?  

A suivre

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30 juillet 2008 3 30 /07 /juillet /2008 06:00

Une coïncidence avec le pape du tableau.

Voila une carte qui rappelle étrangement le tableau de la famille Fleury.

Ici les deux religieux devant le pape sont humbles.

Pas de disque bleu. Pas de signe pi. Pas de tombe ni de dolmen et encore moins d’église.

Une différence notable le pape ici a la main droite gantée, et la main gauche semble bénir les deux religieux

Interprétations de l’arcane V.

C'est un homme âgé et sage. Il possède à la fois un sceptre qui est l’emblème du pouvoir, et sa main droite fait un signe de bénédiction, signe d'une autorité spirituelle.

Il indique une orientation morale de la réponse.

C'est  « l’autorité » bienveillante ou indulgente.

C'est un médiateur, un diplomate, garant de la légalité.

Il favorise bien sûr tout ce qui à trait au sacré, à la tradition

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29 juillet 2008 2 29 /07 /juillet /2008 05:30

Le tableau mystérieux.

Ce tableau qui date d’après des renseignements trouvés un peu au hasard, de 1874 aurait à l’origine été donné par la famille Fleury à la paroisse de Rennes les Bains,.

Malheureusement dans les années 70, ce tableau à disparu

On y voit un Pape avec qui tient dans sa main gauche un rond bleu, (Y a-t-il un rapport avec les pommes bleues) placé sur sa croix.

Sa main droite montre le caractère Pi (П).

Les deux mains sont ornées d'une croix.

Deux moines ou en tous cas deux religieux que l’on peut identifier comme tel grâce à leur tonsure semble écouter le Pape.

Celui de droite semble  être un évêque que l’on peut identifier avec sa canne qui pourrait être une canne épiscopale.



A l’arrière plan on reconnaît sans peine l’église de Rennes les Bains grâce au clocher et à la boule sur le fronton.(On y reviendra)

Un menhir ou plutôt un dolmen nous situe au fond le cap de L’hom.

Le cimetière y est symbolisé par la tombe de l’abbé Henri Boudet, partiellement cachée par la main gauche du religieux, On reconnaît cette sépulture grâce à la croix fléchée sur la tombe.

Ce tableau apparaît  pour la première fois dans le livre "Rennes-Le-Château capitale secrète de l'histoire de France".

Pour certain, ce tableau est faux. Peut-être, mais l’auteur semblait bien connaître les symboles et les indices qui font de Rennes les  Bains un haut lieu du mystère.

A suivre

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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 12:02

Les deux tombes de Paul Urbain de Fleury.

Seule la tombe qui se trouve à l’entrée du cimetière est encore visible. Il est vrai que le cimetière a été remis en état et qu’il reste peu de détail sur toute cette affaire, il faut donc travailler sur des écrits et des témoignages quelques fois romancés par les narrateurs locaux, qui ne détestent pas entretenir le mythe et ainsi tenir en haleine les curieux que nous sommes.

D’après l’écrivain Gérard de Sède, les inscriptions sur la tombe de Paul Urbain de Fleury sont d’origine Maçonnique. L’argument avancé ici, porte sur une inscription située sur la face arrière du pilier de la tombe et qui dit :

Il est passé en faisant le bien.

Il est vrai que la devise des chevaliers dit :

Tout Maçon Chevalier Bienfaisant de la cité Saint et Prince de Merci passe en faisant le bien.

Mais rien ne prouve son appartenance à une loge bien que celle de Limoux toute proche, née en 1772 était connue sous le nom des « Enfants de la gloire des commandeurs du temple ».

L’inscription n’est plus très visible, comme si le temps ou quelqu’un avait voulu faire disparaître cet indice.

Car il me semble évident que Paul Urbain de Fleury est celui qui a découvert le premier le fabuleux trésor, et que par la suite l’abbé Boudet (Qui est resté prêtre 42 ans à Rennes les Bains) a décrypté les indices et trouvé la cache du magot, qu’il a déplacé et indiqué à sa façon avec des indices à lui.

L’abbé Saunière a également fait sa propre chasse au trésor et lui a trouvé des parchemins et des textes portant sur des secrets, qui ont surement dérangés. Il a lui aussi laissé des indices et des messages sur la teneur de ce secret.

 Mais il est certain que tous, on bénéficiés de sommes considérables pour les travaux et les rénovations qu’ils ont lancés.

Le mystère  des 2 tombes.

Aujourd'hui, une seule des deux tombes de Paul Urbain de Fleury est encore visible, mais nous trouvons des indices et des témoignages attestant de la véracité du fait, il y avait bien 2 tombes portant le même nom. L’une des 2 tombes (celle près de la famille Boudet) a aujourd'hui disparu.

Etrange pour une concession perpétuelle.

Nous n'avons aujourd'hui aucune preuve de l'existence de la seconde tombe.

Egalement en ce qui concerne leur disposition avant la remise en état du cimetière.

On peut toutefois s’en faire une idée, à partir du livre de Gérard de Sède.

A suivre.

 

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15 juillet 2008 2 15 /07 /juillet /2008 13:45

Le domaine en images N&B.

D’autres cartes postales du domaine de l’abbé Saunière.

On devine malgré l’état de ces photos que le domaine et la villa tranchait par le luxe et les soins apportés à cette réalisation, par comparaison au autres Habitations de Rennes le Château.















































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15 juillet 2008 2 15 /07 /juillet /2008 13:35

Cartes postales anciennes.

Voici quelques cartes postales anciennes de Rennes le Château.

Si les diverses constructions de l’époque n’ont pas vraiment changées. Aujourd’hui, la végétation et quelques constructions sont venues changer le paysage de cette belle région.
les jardins depuis la villa. (2 photos)

























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14 juillet 2008 1 14 /07 /juillet /2008 15:50

L'abbé Jean Vié à Rennes les Bains.

L’abbé Boudet a modifié volontairement la tombe de l'abbé Jean Vié en y inscrivant une fausse date de décès.

On sait peu de chose sur ce personnage. On pense qu’il est à l’origine de l’affaire de Rennes le Château. Des livres de comptes qui auraient été trouvés, indique qu’il serait celui qui a fait des versements pour une somme totale
de 3.679.431 F or à Marie Dénardaud (Bien entendu au profit de l’abbé Saunière et de ses travaux).

L’abbé Jean Vié est le prédécesseur de Henri Boudet dans cette paroisse de Rennes-Les-Bains. Sa tombe se trouve sur la droite de celle de la famille Boudet. L’abbé Boudet a souhaité être enterré au coté de son frère Edmond dans la paroisse d’Axat, village proche de Rennes les Bains et de Rennes le Château.

Au premier regard, l'épitaphe paraît normale. Mais quand on y regarde de plus prêt, on ne peut s’empêcher de remarquer des détails pour le moins curieux.

La première ligne attire immédiatement l’attention.

On y trouve les chiffres 1 et 7 qui forment le nombre 17.

Est-ce un petit jeu de l’abbé Boudet avec le nom de Jean Vié et qui devient 17 janvier ?

Mais nous savons que le 17 janvier est une date particulière que nous retrouvons souvent dans cette affaire, alors pourquoi ?

Faisons le lien avec la pierre tombale de la Marquise de Blanchefort, Marie de Négri d'Ables, décédée un 17 janvier comme l'indique sa stèle.

Mais curieusement, cette coïncidence n’en est pas une. Effectivement, l’abbé jean Vié n’est pas mort à cette date.

Mais a-t-il voulu faussé les pistes en faisant indiquer une fausse date sur sa stèle ?

L’a-t-il vraiment voulu ?

Cette date a-t-elle été gravée par une personne détenant le secret ?

Ou est ce l’abbé Boudet qui a modifié cette épitaphe ?

Alors dans quel but ?

Autre remarque flagrante, on a écrit Jean VIE et non Jean Vié.

On comprend que le but a été de dissimuler quelque chose ?

La tombe de la famille de l’abbé Boudet  nous montre aussi des curiosités.

La croix de pierre présente 2 flèches gravées qui se coupent en angle droit. Le motif aurait pu passer pour une  simple décoration mais si on examine les détails,  on remarque, que la flèche verticale est orientée la pointe vers le haut.

L’abbé Boudet voulait-il nous montrer une direction ou un méridien à utiliser ou une méthode, celle du croisement de 2 axes pour situer un lieu ?

Mais si l'on se réfère à son ancienne orientation, la flèche verticale indique le Nord et donc un méridien. La flèche horizontale est alors une latitude qu'il faut interpréter pour trouver un point précis.

Si ce type de gravure est courante, sur une stèle, il faut admettre qu’elle prend un sens qui nous parait capital pour décrypter sinon le mystère de toute cette affaire au moins ses origines et peut être par où commencer d’éventuelles recherches.

A suivre

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13 juillet 2008 7 13 /07 /juillet /2008 14:20

Le cap de L’Hom.

Cette église et son cimetière, on bien sur une grosse part de mystère, dans l’affaire de Rennes le Château, mais je pense qu’il y a peut-être une affaire Rennes les Bains.

Cette église a plus souffert du temps que celle de l’abbé Saunières, et beaucoup de traces et d’indices laissé par l’abbé Boudet ont malheureusement disparus, pour des raisons diverses, l’usure, les dégradations, les vols,,,

Certains chercheurs avancent fortement, plus qu’une hypothèse, que certaines disparitions et dégradations, ont été faites volontairement pour faire disparaître les indices….

Il est évident que ces indices ne concernaient pas ou peu Rennes le Château.

Henri Boudet disposait de ses propres fonds.

Commençons par le cimetière. Comme celui de Rennes le Château, celui de Rennes les Bains a sa part de mystère. Des pierres tombales étranges, des signes étranges, et deux tombes pour une seule âme. 

On accède à ce petit cimetière, par une étroite ruelle qui nous amène sous un porche qui est commun à l’entrée de l’église et de ce lieu de repos qui n’a plus grand-chose de celui qui était intégré au jardin à la Française qui donnait une âme à ce lieu de repos.

Et malheureusement, ces travaux nous enlèvent une trace précieuse, celle des deux tombes de Paul Urbain de Fleury.

Mais avant de parler des deux tombes, voyons déjà la tête de l’homme (cap de l’hom en occitan) une sculpture étrange que l’abbé Boudet avait reçue en cadeau. Cette sculpture détachée d’un menhir Celtes provenant d’un amas de roches au dessus de Rennes le Château est aujourd’hui gardée dans un petit musée.

Mais à l’époque l’abbé Boudet l’avait fait scellée au mur du presbytère, et il disait que celle-ci représentait le visage du Christ (La tête du sauveur), étrange pour ce passionné d’archéologie. Voudrait-il nous faire prendre des vessies pour des lanternes ?

Certains disent qu’il s’agit de la tête d’une femme de l’époque Gallo-Romaine, une sculpture plus récente que le menhir sur lequel on l’a détachée pas impossible et certain même.

Un trou au sommet du crâne n’est surement pas sans rapport avec une ancienne coutume mérovingienne qui consistait à pratiquer une trépanation sur les morts pour faciliter le départ vers l’au-delà.

A suivre

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