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20 février 2007 2 20 /02 /février /2007 12:27

Olgoï-Khorkhoï

 

Le ver tueur du désert de Gobi.

 

Vous déambulez dans votre tout-terrain dans le désert de Gobi en Mongolie, dans le cadre d'une mission de paléontologie. Soudain à quelques dizaines de mètres devant vous sur votre droite, vous apercevez "quelque chose" qui bouge sur le sable. Vous regardez encore et effectivement vous n'avez pas rêvé, il y a bien une "bestiole" qui rampe sur le sol...

 

Vous arrêtez votre véhicule et coupez le moteur, pour mieux voir vous descendez tout en scrutant l’animal qui est l'objet de toute votre attention. Jamais vous n'avez vu cela, une espèce de gros ver de terre, énorme, de couleur rouge foncé, de presque un mètre de long et d'environ vingt centimètres de diamètre, impossible de différencier sa tête de sa queue car il n'a ni yeux, ni narines, ni bouche visibles, mais ce n'est assurément pas un serpent.

 

                                                

Portrait-robot de l'Olgoï-Khorkhoï, établi sous les directives d'Ivan Mackerle.

 

Dans un mélange teinté d'inquiétude et de curiosité, vous ne pouvez résister à la tentation de vous en approcher doucement, vu l'apparence inoffensive de la créature, une idée germe dans votre tête, je vais le capturer pour l'étudier, je dois savoir ce qu'est cette forme vivante. Il n'a pas l'air très doué ce ver, vous allez le maîtriser en deux temps trois mouvements. Vous êtes à proximité de lui, il est à vous, subitement l'animal prend une attitude spiralée et il change de couleur, il devient violet, vous l'effleurez et une fraction de seconde plus tard vous êtes. Mort !

 

Pour la première et la dernière fois de votre vie, vous venez de faire connaissance avec l'Olgoï-Khorkhoï, (prononcez "olgoïroroï"), le "ver intestin" du désert de Gobi, c'est un gros animal sans yeux, sans bouche, qui se déplace en rampant et est parfois décrit comme venimeux.

 

Le premier rapport connu au sujet de cette créature énigmatique, nous vient du paléontologue américain Roy Chapman Andrews, qui effectua une mission au Gobi en 1922-1923.

 

L'Olgoï-Khorkhoï vu par les Mongols

 

L'essentiel de nos connaissances sur l'Olgoï-Khorkhoï nous vient d'un chercheur tchèque, Ivan Mackerle, qui a publié plusieurs articles sur le "ver" maléfique du désert de Gobi.

 

"Nous avons une horrible créature qui vit en Mongolie. Nous appelons le monstre Olgoï- khorkhoï, et il vit enfoui dans les dunes de sable du désert de Gobi. Il peut tuer un homme, un cheval, et même un chameau."

 

- "Les bergers du désert de Gobi refusent d'en parler. Ils craignent que la seule prononciation de son nom puisse amener le mauvais sort sur eux."

 

- Un guide qui sort de son mutisme :

 

"Le ver tueur ressemble beaucoup à un intestin de vache, d'où son nom de "ver intestin". Il nous dit qu'il a une couleur rouge sombre, comme du sang ou du salami, et qu'il est difficile de différencier sa tête de sa queue car il n'a ni yeux, ni narines, ni bouche visibles. La créature se déplace également de façon étrange, soit elle roule, soit elle se tortille latéralement, balayant son chemin. Et elle aime la couleur jaune."

 

- Une vieille femme se laisser aller à quelques confidences :

 

"Je n'ai personnellement jamais vu l'olghoï-khorkhoï, mais j'en ai beaucoup entendu parler. On dit qu'il se déplace sous le sable et que quand il veut tuer quelqu'un, il sort la moitié de son corps hors du sable. Quand il commence à gonfler, la bulle à son extrémité grandit et à la fin le poison en jaillit.

 

Tout ce qui entre en contact avec cette substance, même le métal, semble avoir été corrodé par quelque acide et jaunit immédiatement. Mais le poison perd de sa puissance en été, à partir de la fin de juin, de sorte que rencontrer ce ver dangereux à cette époque ne se termine pas toujours par la mort."

 

- Yanjindgin Mahgaljav, de Dalandzadgad, raconta que dans les années 60, il avait vu le "ver" tuer un troupeau entier de chameaux au sud de Noyon.

 

Dans tous les cas les Mongols en ont une peur bleue et le simple fait de prononcer son nom porte déjà malheur, c'est tout dire.

 

L'animal serait également connu au Kazakhstan (un pays limitrophe de la Mongolie ).

 

"Nous entendîmes décrire d'autres "serpents", tout à fait inattendus, notamment une sorte d'énorme saucisse qui s'appelle en kalmyk "le court serpent gras", dont l'une des caractéristiques premières était "qu'il était sans os". Seuls, s'en souvenaient les vieux Kalmyks."

 

Description

 

Corps uniformément cylindrique, arrondi par devant, se terminant brusquement par une queue très courte. Longueur 50 centimètres, diamètre 15-20 centimètres, peau lisse, grise. Très dangereux selon les uns, inoffensif selon les autres.

 

"Je ne me souviens pas si ses déplacements étaient rapides ou lents. Plutôt lents, je crois ; en tout cas, rectilignes, en accordéon."

 

"Tous les informateurs (rares) étaient unanimes sur un point : si on lui assenait un violent coup de bâton en plein dos, comme l'a vu faire par son père l'un de nos témoins, il éclatait, ne laissant pour tout vestige de son existence qu'une grande tache de graisse s'étalant sur plus d'un mètre de diamètre."

 

Un témoignage des dangers du "ver"

 

"En 1958, Ivan Efrémov rapporta en effet dans son livre Doroga vetrov (La route des vents) les légendes que lui avait racontées Tseven, un vieillard de Dalandzadgad, qu'il avait rencontré lors de son expédition au Gobi, à la recherche de fossiles du crétacé supérieur. Les compagnons d'Efrémov finirent par amener la discussion avec le vieux Mongol sur l'animal énigmatique :

 

Une tradition, depuis longtemps répandue chez les habitants du Gobi, parle d'un grand et gros ver (olgoï - gros boyau, khorkhoï - ver de terre), de plus d'un demi mètre de long, vivant dans d'inaccessibles endroits sablonneux du désert de Gobi. Les récits sur cet animal sont concordants. L'Olgoï-Khorkhoï est connu comme une créature vraiment terrible, douée d'un pouvoir meurtrier incompréhensible, capable de frapper à mort l'homme qui l'effleure.

 

Aucun savant chercheur n'a jamais vu le ver extraordinaire, mais sa légende est tellement répandue et toujours tellement identique, qu'on est obligé de penser qu'il existe effectivement, pour fonder cette légende, un animal extrêmement rare, en voie d'extinction, sans doute rescapé des temps anciens, se maintenant de nos jours dans les coins les plus déserts de l'Asie Centrale. J'ai utilisé la légende de l'Olgoï-Khorkhoï dans l'un de mes récits fantastiques. Andrews, le chef de l'expédition américaine, a lui aussi entendu parler de l'Olgoï-Khorkhoï.

 

Danzan entreprit Tseven avec une certaine gêne, comme s'il craignait la moquerie du spirituel vieillard en réponse à la question naïve sur l'animal légendaire. A l'étonnement général, Tseven déclara qu'il avait beaucoup entendu parler de ce ver géant qui peut tuer d'un seul coup, mais il ne l'avait jamais vu. A quatre ourtons [environ 130 Km] au sud-est de l'aïmak [district rural] il existe un lieu, le Khaldzan dzakhé ("région chauve") où l'Olgoï-Khorkhoï vit dans les dunes de sable. Mais on ne peut le voir qu'à la pleine chaleur, en juin-juillet, plus tard il s'enfonce dans la terre et dort.

 

Des plaisanteries fusèrent sur les capacités meurtrières du khorkhoï. Tseven le prit mal et, se renfrognant sévèrement, il dit quelques mots à Danzan.

 

- Il dit qu'ils ne rient que parce qu'ils ne connaissent ni ne comprennent rien, traduisit le jeune géologue. L'Olgoï-Khorkhoï, c'est une chose terrible !"

 

Affinités zoologiques les plus probables de l'Olgoï-Khorkhoï

 

A première vue, il s'agit d'une créature fantastique.

 

"L'absence, au moins apparente, de pattes et de tête, peut suggérer qu'il s'agit d'un invertébré ; et du reste, l'animal n'est-il pas qualifié de "ver" ? C'est en tout cas l'idée qui semble s'imposer à Karl Shuker :

 

"Il est vrai que certains serpents sont souvent qualifiés de vers, mais à mon avis les descriptions de l'allergorhai-horhai (olgoï-khorkoï) suggèrent beaucoup plus une bête sans os au corps mou, qu'un animal vertébré contenant des os. Pourtant, s'il s'agit bien d'un invertébré, comment peut-il éviter la dessiccation, environné par les sables brûlants du Gobi ? Sans doute, comme les scorpions, les solifugidés et d'autres invertébrés vivant dans le désert, il est enfermé dans une cuticule retenant l'eau."

 

Certaines chenilles ou larves d'insectes, par leur forme de ver épais, et quelquefois leur caractère venimeux, se rapprochent effectivement du portrait-robot que nous avons tracé. Mais aucune n'approche les 60 centimètres de longueur ; d'ailleurs, si une larve aussi monstrueuse existait, l'insecte en question ne devrait pas passer inaperçu... A l'inverse, si l'on connaît des vers aussi longs, et même plus (jusqu'à 3 mètres), que la taille prêtée au monstre du Gobi, c'est ici l'épaisseur qu'on lui prête qui fait problème.

 

Les invertébrés étant donc écartés, il nous reste 5 classes de vertébrés à passer en revue : nous pouvons d'emblée éliminer les oiseaux, dont aucun ne ressemble, même de très loin, au monstre du Gobi. Et dans la foulée, nous pouvons rejeter les poissons et les batraciens : signalé dans les sables du Gobi, au cour d'une des régions les plus arides de la planète

 

L'Olgoï-Khorkhoï est de toute évidence un vertébré terrestre. Avec sa peau nue, il est peu probable qu'il s'agisse d'un mammifère, dont la plupart des espèces fouisseuses sont en effet couvertes de poils, un mammifère apode, ça ne court pas les rues (l'absence des quatre membres étant inconnue chez les mammifères).

 

L'aspect serpentiforme de la créature, ainsi que son venin supposé, auraient tendance à nous orienter vers les serpents, mais ce serait sans doute à tort : le fait que la tête soit indistincte, s'inscrit en faux contre cette hypothèse. Il est à noter que les Mongols n'ont jamais comparé l'animal à un serpent, alors que les serpents abondent dans la région. Ils n'auraient pas manqué également de signaler la langue bifide. Par contre, il existe en effet d'autres reptiles dont l'allure rappelle irrésistiblement celle, vermiforme, de notre protégé : ce sont dans une certaine mesure les anguidés (orvets), mais bien plus encore les amphisbéniens (amphisbènes).

 

En 1993, un groupe de paléontologues comprenant notamment Xiao-Chun Wu, Donald B. Brinkman et Anthony P. Russell ont décrit sous le nom de Sineoamphisbaena hexatabularis un amphisbénien indiscutable, au squelette crânien et postcrânien bien préservé, découvert dans un niveau campanien (crétacé) de Bayan Mandahu, en Mongolie Intérieure (le nord de la Chine , près de la frontière avec la république de Mongolie).

 

Il apparaît ainsi que l'origine des amphisbéniens, contrairement à toute attente, se situe en Asie Centrale, et non en Amérique comme on l'a toujours cru ! Voilà qui donne un nouveau crédit à l'hypothèse d'un amphisbénien mongol inconnu.

 

Reste une dernière objection à prévenir : les amphisbéniens sont inoffensifs, aucune espèce n'a un quelconque pouvoir fatal comme celui attribué au "ver tueur" du Gobi.

 

Mackerle a suggéré que l'association du monstre avec une plante venimeuse pouvait expliquer cette incongruité : peut-être le simple contact des racines de cette plante avec le "ver-intestin" rend celui-ci mortel ? C'est en effet très possible, mais peut-être y a-t-il une autre explication.

 

L'animal pourrait en effet être pourvu d'organes électriques, comme c'est le cas de nombre d'espèces de poissons. L'anguille électrique (Electrophorus electricus) peut produire un champ électrique de plus de 600 volts sous 1 ampère, qui peut déjà choquer sérieusement un être humain ou un gros animal. Pourtant, l'air sec du Gobi est un piètre conducteur, et du reste les animaux électriques sont tous aquatiques.

 

Il pourrait s'agir d'un phénomène, non pas physiologique, mais purement physique. Un banal phénomène de triboélectricité, c'est-à-dire la production de charges électriques par frottement. On a pu en effet mettre en évidence que les serpents à sonnettes (crotales), par simple frottement avec un sol sec, sont capables d'atteindre des potentiels de 1000 Volts. Dans les sables arides du Gobi, un reptile fouisseur pourrait sans doute engendrer des potentiels au moins aussi élevés, sinon plus, susceptibles de choquer, voire de tuer, un être humain.

 

A moins que l'explication ne soit infiniment plus simple. D'abord, les rapports sont fondés sur des "on-dit". Ensuite, ces rapports sont contradictoires : rien de commun entre le venin de l'un, les humeurs corrosives de l'autre, et la loi d'Ohm appliquée à un infortuné géologue. On est donc tout naturellement fondé à envisager la possibilité que ces pouvoirs mortels soient totalement mythiques, d'autant plus que nombre d'animaux inconnus, ou tout simplement rares, sont considérés à tort comme mortels par l'imagination populaire.

 

Le monstre du Gobi est-il donc un grand amphisbénien inconnu ? C'est en tout cas l'hypothèse probable à la lumière de l'ensemble du dossier, et qui seule, rend compte de la quasi-totalité des informations dont nous disposons à ce jour : l'anatomie (taille, épaisseur, absence apparente de tête, couleur rouge...), l'habitat, le mode de progression, l'écologie, etc.

 

La simple confrontation du portrait-robot de l'Olgoï-Khorkhoï par Ivan Mackerle et de la photographie d'un amphisbénien de la famille des trogonophidés, Trogonophis wiegmanni, se passe du reste de commentaire."

 

Comment le "ver intestin" tue-t-il ses victimes ?

 

Sur ce point, les informateurs de Mackerle ne s'accordaient pas entre eux : poison violent selon les uns... Ou courant électrique, selon d'autres ! Sugi rapportait notamment que lorsqu'il était enfant, des géologues dans le desert de Gobi avaient attisés un feu avec une barre d'acier, et lorsque l'un d'eux enfonça la barre dans le sable, il tomba raide mort sur le coup. A la suite de quoi, un énorme ver gras émergea du sable.

 

Yanjindgin Mahgaljav, de Dalandzadgad, raconta que dans les années 60, il avait vu le "ver" tuer un troupeau entier de chameaux au sud de Noyon.

 

Portrait robot de l'Olgoï-Khorkhoï

 

"Animal vermiforme de 50 à 60 centimètres de long selon la majorité des rapports, et dont on ne distingue pas la tête de la queue (la tête, la bouche, les yeux, les narines et les oreilles étant indistincts, si tant est qu'il en possède). Le corps est qualifié d'épais ou de gras : il est comparé à une saucisse ou un saucisson, ou à la largeur du poignet, et le nom vernaculaire de l'animal, Olgoï-Khorkhoï ("ver intestin"), est inspiré de cette particularité. La peau semble nue, mais le corps serait annelé si l'on en juge par les dessins d'Efrémov (1954) et de Mackerle (1996). La couleur est rouge sombre (comme du sang ou du salami), bien qu'Ivan Efrémov parle d'une couleur beige dans son récit de cryptozoologie-fiction de 1954. L'animal vit sous terre, et ne se montre que l'été (juin et juillet), et reste enterré le reste du temps. Enfin, il est regardé comme terriblement mortel, au point de tuer à distance hommes et chameaux, sans qu'il y ait consensus sur l'origine de ce caractère fatal : présence d'u venin (que l'animal projetterait à plusieurs mètres) ou pouvoir électrique."

 

Le "ver tueur" légende ou réalité ?

 

Comme toujours, difficile de faire la distinction entre la réalité et la légende vivace entretenue par les autochtones. Devant la multitude des histoires du "ver tueur ", il n'est pas impossible que cet animal soit bien réel, mais terriblement discret.

 

Toutefois, une expédition tchèque effectuée au cours de l'été 1996 par deux amis d'Ivan Mackerle, Naplava et Horky, a recueilli de nouveaux rapports, y compris venant de témoins oculaires ayant observé l'animal récemment. Un film sur cette expédition a d'ailleurs été diffusé par la télévision tchèque.

 

 

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5 février 2007 1 05 /02 /février /2007 09:51

Sirènes du Japon...

 

                 

Les sirènes semblent bien plus répondues que l’on pouvait l’imaginer... Petite visite du Japon et de ses momies de sirènes...

 

Deux femmes, Mary King et Etsuko Shimabukuro voyageaient à travers le Japon pour un site internet. Les deux femmes en visitant le temple de Karukayado vont faire une bien étrange découverte.

 

 

                                     

Sirène de Karukayado

 

 

En effet dans le temple se trouve le corps d’une créature d’environ soixante cinq centimètres et pesant environ trois cent grammes. La créature semble posséder des crocs des petites mains ainsi qu’une queue de poisson. Il semblerait que ce corps serait celui d’une sirène...

 

 

En fait ce n’est pas le seul cas de momies de sirène au pays du Soleil levant, dans la ville de Kashiwazaki se trouve une sirène d’environ trente centimètres ayant une posture similaire à la précédente.

 

 

Sirène de Kashiwazaki

 

 

Dans un temple shinto de la ville de Fujinomiya une autre de ces sirènes momifiées est exposée. Celle ci possède des caractéristiques similaires aux deux autres. Ce cadavre aurait environ 1400 ans. La légende raconte que cette créature aurait été vue par le prince Shotoku qui passait le long du lac Biwa. La sirène aurait parler au prince et lui aurait expliquer comment elle était devenu sirène. Autrefois pécheur elle serait devenue ainsi pour n’avoir pas essayé de sauvegarder la faune. La créature aurait demandé au prince qu’étant donné qu’elle allait mourir, elle désirait qu’un temple soit construit avec elle comme pièce centrale. Elle mourra ensuite... Un temple fut construit où elle fut placé, ensuite on la changea plusieurs fois de temple avant qu’elle n’arrive dans un temple au bas du Mont Fuji où l’on peut encore la voir.

 

 

 

                                                                     

 

 

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23 janvier 2007 2 23 /01 /janvier /2007 18:41

QUE LA LUMIÈRE SOIT   
  
Un jeune paysan vietnamien a atteint malgré lui la célébrité après avoir découvert que son corps était couvert de petites taches qui irradiaient de la lumière, a rapporté le journal Thanh Nien.

 

Cha Ma Le Buot avait ressenti en février dernier une grande chaleur corporelle après avoir fait une chute au retour des champs. Il avait découvert en se déshabillant qu'il était couvert de taches bleues qui  clignotaient comme des petites lampes. Le phénomène depuis se reproduit tous les soirs et si le jeune homme peut continuer à mener une vie en apparence normale, il est devenu si complexé qu'il n'ose plus voir personne. Avant lui, deux personnes avaient déjà fait état de cette bizarrerie sur laquelle tous les scientifiques interrogés sont restés perplexes.

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23 janvier 2007 2 23 /01 /janvier /2007 18:22

codex

A l'université Yale est conservé un manuscrit à l'écriture énigmatique.

 

Le célèbre manuscrit de "Voynich"à la bibliothèque Beinecke. C'est là, parmi les centaines de milliers de livres anciens, que se cache l'un des plus mystérieux manuscrits au monde :

 

un codex de 250 pages de la taille d'un cahier d'écolier, sans titre, ni auteur, ni date, rédigé avec des caractères inconnus dans une langue parfaitement inconnue.  

Depuis des décennies, experts en linguistique, historiens, cryptanalystes s'y sont cassé les dents, jusqu'aux chercheurs de la très officielle Agence de sécurité nationale américaine (NSA)

 

Rien n'y fait : il semble impossible de comprendre le sens des lettres sibyllines et des étranges illustrations de cet ouvrage mystérieusement apparu au XVIè siècle puis redécouvert en 1912 par l'antiquaire new-yorkais Wilfried Voynich dans les collections de la villa Mondragone, près de Rome.

 

 
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22 janvier 2007 1 22 /01 /janvier /2007 13:25

Cambriolage de la NASA sur la Lune

 

En 1992, le journal The Sun a révélé une histoire incroyable. Elle pourrait faire partie des grandes énigmes liées à l’ufologie mais faute de preuves, elle reste pour l’instant dans les histoires insolites.

 

Le 25 février, l’astronome américain David Bazea observe la Lune à l’aide du grand télescope de l’observation des Andes.
Là, il découvre, selon ses dires, une chose totalement incroyable. En effet, le matériel laissé par les missions Apollo a disparu !

 

Il ne reste plus rien, les appareils de mesure, les jeeps lunaires et même le drapeau américain planté par Amstrong !

 

Or, toujours selon Bazea, les nuits précédentes, il avait remarqué la présence de lumières autour de la Lune.

 

Il alerte la NASA qui lui ordonne le silence et ne laisse transpirer aucune information sur ce rocambolesque cambriolage.

 

Sans les confidences de Bazea au Sun, personne n’aurait jamais entendu parler de cette histoire.

 

On a bien sûr énormément de mal à croire à tout ça mais quel intérêt ce scientifique aurait-il eu à raconter tout ça ?

 

On ne le saura jamais, pas plus qu’on ne saura si effectivement un vol a eu lieu sur la Lune.

 

 

 

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22 janvier 2007 1 22 /01 /janvier /2007 13:18

Enigme des enfants verts

 

Au cours du mois d’août 1887, près de Banjos, en Espagne, deux enfants inconnus sortirent d’une grotte.
Ils avaient la peau verte, les yeux bridés et portaient des vêtements faits d’une matière insolite. Ils ne parlaient pas espagnol.

 

On les confia au juge de paix local qui tenta d’ôter la couleur verte. Mais, il s’aperçut que ce n’était pas du maquillage, mais bien la pigmentation de leur peau.
Pendant presque une semaine, ils refusèrent de s’alimenter. Finalement, ils acceptèrent de manger des haricots frais.
Le garçon, trop affaibli, mourut peu de temps après. La petite fille survécut. Peu à peu, sa pigmentation verte disparut.
Ayant appris suffisamment d’espagnol pour s’expliquer, elle raconta qu’elle venait d’un pays sans soleil, où régnait un crépuscule permanent.
Ce mystérieux pays était séparé d’une région lumineuse qu’éclairait le soleil par une large rivière.
Un jour, un mystérieux tourbillon les avait emportés, elle et son frère et déposés dans la grotte.
La jeune fille mourut en 1892, sans pouvoir nous éclairer d’avantage sur ce mystère.

 

Cette histoire est très proche de celle des enfants verts qui sortirent d’une grotte de Woolpit (Angleterre), au XIe siècle.
Là aussi, il s’agissait d’un garçon et d’une fille ayant la peau et les cheveux verts. Eux aussi refusèrent tout d’abord toute nourriture et perdirent peu à peu leur étrange pigmentation.

 

On leur enseigna l’anglais et ils racontèrent leur histoire. Ils dirent venir d’une région appelée « le pays de saint-Martin » où le soleil ne brillait jamais.
Alors qu’ils gardaient un troupeau, ils avaient entendu un grand bruit. Voulant savoir d’où il venait, ils étaient entrés dans un tunnel. Ensuite, ils ne se souvenaient plus de rien.
Le garçon mourut un an après. Sa sœur resta à Woolpit et épousa un homme du village voisin.

 

On a cherché des explications à ces deux énigmes. On a ainsi observé que non loin de Woolpit se trouve le village de Fornham Saint Martin, qui aurait bien pu être ce mystérieux pays de saint-Martin.
Là s’étend la vaste forêt de Thetford. Cette région est également connue pour posséder de nombreuses galeries d’anciennes mines de silex.
Il s’agit peut-être de l’un de ces souterrains empruntés par les enfants.

 

La pigmentation verte de la peau s’explique assez facilement. On sait que certaines anémies peuvent rendre la peau verte. Ce symptôme s’aggrave en cas de malnutrition, assez courante à l’époque.
Le fait que la pigmentation soit redevenue normale après plusieurs semaines d’une alimentation plus équilibrée semble en être la preuve.

 

Ils auraient pu également être empoisonnés à l’arsenic car la peau peut alors devenir verte et abandonnés.

 

Le vrai mystère réside dans ce langage que personne ne comprenait. S’ils venaient d’un village assez proche, même avec un accent différent, ils auraient du pouvoir se faire comprendre.

 

Les enfants verts d’Espagne ont une histoire trop semblable à celle des enfants de Woolpit pour n’être qu’un hasard.
L’histoire des enfants de Woolpit pouvait être connue car William de Newburgh la rapporta dans un ouvrage publié en 1618.
Cette histoire a certainement inspiré celle de Banjos. Dans quel but ? Par qui ? Nous ne le saurons jamais.
Quelle langue avait-on apprise à ces enfants ? Un autre mystère sans réponse.

 

Source : Le surnaturel face à la science de Colin Wilson

 

 

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11 janvier 2007 4 11 /01 /janvier /2007 12:56

Ablay le mysterieux

Ce garçon, appelé Ablay, moitié homme moitié singe, a été trouvé lorsqu'il avait 6 ans dans un village près de la montagne à la frontière du Kazakhstan et de la Chine.

En savoir plus ici

http://secretebase.free.fr/etrange/ablay/ablay.htm

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11 janvier 2007 4 11 /01 /janvier /2007 12:46

Le premier cas de combustion. spontanée français a eu lieu a Reims le lundi de Pentecôte 1725. Jean Millet, tenancier de l'auberge du lion d'Or, s'endort tandis que sa femme Nicole ferme l'établissement. Vers 2 h 30 du matin, il est réveillé en sursaut par une forte odeur de fumée. Dans la grande salle du bas, il découvre, dans un fauteuil intact, le corps calciné de son épouse. La police l'accuse alors d'avoir immolé sa compagne par le feu. Fort heureusement pour lui, un client un jeune chirurgien nommé Le Cât réussit à disculper l'aubergiste en prouvant au tribunal l'existence de cas similaires à l'étranger. Il s'agissait tout simplement de la première affaire de ce type dans l'Hexagone.

En savoir plus ici:

http://secretebase.free.fr/etrange/combustion/combustion.htm

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