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1 juin 2007 5 01 /06 /juin /2007 16:01

Le bouclier d’invisibilité

 

Des scientifiques utilisent les matériaux issus de la nanotechnologie pour tenter de créer un dispositif d’invisibilité. Une nouvelle étape vient d’être franchie, puisque des chercheurs de la Duke University (Caroline du Nord) ont réussi à créer en laboratoire un ‘trou d’invisibilité’, faisant ainsi disparaître un anneau de cuivre ! Un prototype définitif d’invisibilité est annoncé dans les prochains 18 mois…
Grâce aux méta matériaux, les scientifiques peuvent faire jouer des propriétés électromagnétiques inconnues dans la nature…

 

Crédits : Nonlinear Physics Centre

 

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1 juin 2007 5 01 /06 /juin /2007 13:54

Le bras bionique à l’horizon 2010…

 

Une nouvelle prothèse de bras et de main ultra perfectionnée est en phase de développement final dans les laboratoires du DARPA, le département de recherches de la Défense américaine. Selon Geoffrey Ling, le responsable du programme à 50 millions de dollars, ce nouveau bras artificiel sera « presque identique au membre naturel en termes de contrôle moteur et de dextérité, de sensibilité tactile, de poids et de résistance directement contrôlé par le système nerveux. Je veux un bras avec lequel le patient puisse jouer du piano - mais du Brahms ! ». La cruelle ironie de l’histoire, c’est que le développement de cette prothèse révolutionnaire a été largement accéléré par la guerre en Irak, le nombre important de GI blessé au cours de son conflit facilitant grandement les tests en conditions réelles… « La guerre est la meilleure amie des sciences de la prothèse », expliquait d’ailleurs avec un certain cynisme Tom Guth, président du Centre de recherche en prosthétique de San Diego
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1 juin 2007 5 01 /06 /juin /2007 13:51

Chevaux clonés : de la graine de champion ?

 

“Idaho Gem” et “Idaho Star” ; voici les noms de 2 chevaux clonés de 3 ans qui se sont récemment illustrés dans une course hippique professionnelle du Nevada ! “Idaho Gem” a remporté la course de qualification, tandis qu’“Idaho Star” finissait troisième... « Les performances de ces 2 chevaux sont impressionnantes. Cette expérience de clonage va au-delà de nos espérances » confiait Don Jacklin, un homme d’affaires américain à l’origine du financement du projet. Il y a 3 ans, de l’ADN a été prélevé sur des ovules de chevaux de course ayant remporté plusieurs victoires. Pour le moment, aucune loi ne régit le statut des chevaux clonés dans les courses hippiques, et plusieurs autres chevaux clonés vont naître au cours de l’année...

 

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1 juin 2007 5 01 /06 /juin /2007 13:50

Cerveau : la pensée, mot de passe du futur !

 

Les scientifiques qui travaillent sur les nouvelles interfaces “cerveau ordinateur” cherchent à mettre un point un système qui va révolutionner la notion de sécurité informatique : il sera bientôt possible de contrôler sa machine par la seule force de la pensée, mais aussi de s’identifier par un mot de passe télépathique ! Une fois le concept validé, il suffira de penser à son mot de passe pour que l’ordinateur reconnaisse à qui il a à faire... La variété des mots de passe se trouve alors illimitée – vous pouvez penser à un son, un souvenir, un mot, une suite de chiffres...- ce qui rendra impossible le piratage de votre code et les tentatives d’usurpation d’identité. « Les signaux émis par le cerveau de tout un chacun sont légèrement différents, y compris lorsqu’on pense à la même chose. Ils sont uniques, comme les empreintes digitales » explique Julie Thorpe, universitaire Canada engagée dans le projet.

 

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1 juin 2007 5 01 /06 /juin /2007 13:48

Afrique : les glaciers tropicaux fondent à vitesse grand V

 

10 mètres par an ; c’est la vitesse à laquelle reculent les glaciers africains, notamment ceux des montagnes Rwenzori, qui relient l’Ouganda et la République Démocratique du Congo. Conséquences : depuis 1997, l’étendue totale de glace a été divisée par 2, et les chercheurs prédisent la disparition des glaciers tropicaux dans une petite vingtaine d’années ! Le réchauffement climatique est une nouvelle fois le grand responsable, et son influence risque d’être encore bien pire pour l’Afrique de l’est : avec l’augmentation des températures et la fonte des glaciers, les risques de paludisme vont augmenter rapidement. Car les moustiques pourront bientôt s’installer dans ces zones qui étaient jusqu’ici trop froides pour eux...

 

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26 mai 2007 6 26 /05 /mai /2007 20:10

Des scientifiques britanniques créent des embryons humains sans sperme

 

Paul de Sousa, de l'université d'Edimbourg, a annoncé au BA Science Festival à Dublin que son équipe a réussi à créer des "embryons vierges", ou parthénotes, en stimulant un ovule humain pour qu'il commence à se diviser comme un embryon sans addition de matériel génétique d'une cellule spermatique mâle.

 

Cette annonce survient le lendemain du jour où l'Autorité britannique de fécondation et d'embryologie humaines (Human Fertilisation and Embryology Authority - HFEA) a autorisé le transfert de composants d'un embryon humain à un ovule non fécondé provenant d'une autre femme, repoussant ainsi plus loin encore les frontières de la recherche reproductive.

 

L'on espère que la conception de ces embryons vierges ouvrira la voie à une nouvelle manière de cultiver des cellules et des tissus prélevés sur des femmes en vue de réaliser toute une série d'expérimentations et de traitements. L'équipe d'Edimbourg, qui travaille à l'institut Roslin où la brebis Dolly a été clonée, a utilisé environ 300 ovules humains de donneuses volontaires pour obtenir une demi-douzaine de blastocystes parthénogénétiques - des embryons humains formés d'environ 50 cellules, qui peuvent être utilisés comme source de cellules souches.

 

Dans la reproduction normale, les ovules rejettent la moitié de leur matériel génétique pour se préparer à recevoir le complément mâle fourni par une cellule spermatique. Pour fabriquer des parthénotes, les ovules ont été cultivés en laboratoire de façon à ce qu'ils conservent la totalité de leurs chromosomes ; la moitié environ sont parvenus à maturité avec succès et ont pu être stimulés par un choc électrique pour qu'ils se divisent. Mais cinq sur cent seulement ont atteint le stade du blastocyste, et avec la moitié seulement du nombre habituel de cellules. Rejetant les objections concernant l'efficacité du processus, Paul de Sousa a déclaré : "C'est une question de nombres. Cela dépend uniquement de la quantité de tissu dont on peut disposer pour l'expérimentation".

 

Les embryons ont été cultivés selon un processus appelé "parthénogenèse", ce qui signifie "naissance vierge" en grec ; la parthénogenèse est naturelle dans les plantes et chez certains animaux comme les abeilles et les fourmis et même chez certains lézards. Comme pour les autres mammifères, ce processus n'existe pas chez les êtres humains : en effet, pour que le développement de l'embryon parvienne pleinement à son terme, il faut obligatoirement que les gènes de la mère et du père soient impliqués, cette condition étant réalisée par un mécanisme de régulation des gènes appelé "imprinting parental". Jusqu'ici, les scientifiques n'avaient artificiellement obtenu des parthénotes qu'à partir de souris et de singes, ces expériences aboutissant très souvent à un développement anormal.

Embryons Humains au stade blastocyste

 

 

Les gènes soumis à l'empreinte génomique parentale sont des gènes dont l'expression est déterminée par le parent dont ils proviennent ; ces gènes violent la règle habituelle de l'héritage qui veut que les deux ensembles de gènes parentaux soient également exprimés. D'après les comptages les plus récents, le nombre de ces gènes soumis à empreinte s'établit chez les mammifères à environ 80. Comme la plupart d'entre eux sont réprimés, ou bien c'est le gène maternel qui est exprimé exclusivement parce que le gène paternel est soumis à empreinte, ou vice versa. Le processus commence pendant la formation des gamètes lorsque, chez le mâle, certains gènes sont soumis à empreinte dans le sperme en développement et que, chez la femelle, d'autres gènes le sont dans l'ovule en développement. Toutes les cellules de l'embryon qui en résulte possèderont la même série de gènes soumis à empreinte provenant de son père et de sa mère, à l'exception des cellules ("germoplasme") destinées à se développer pour devenir des gamètes (ovules ou cellules spermatiques), dans lesquels tous les gènes - maternels et paternels - soumis à empreinte sont "effacés".

 

L'imprinting est un processus très important: la transmission délibérée (expérimentale sur des souris) ou accidentelle (chez l'homme) de deux copies d'un chromosome particulier de l'un des parents et aucune transmission de l'autre parent est généralement fatale ; de même, la transmission de deux copies de l'un des gènes maternels et aucune copie de l'un des gènes paternels (ou vice versa) peut provoquer de graves défauts de développement. De plus, l'absence d'imprinting dans les cellules somatiques peut induire un cancer.

 

C'est pourquoi les scientifiques sont intéressés par l'utilisation de cellules de parthénotes, car elles pourraient éclaircir la question du clonage, un processus qui interrompt l'imprinting, et celle des liens entre imprinting défectueux et maladie. La parthénogenèse offre également la possibilité de cultiver des cellules prélevées chez des femmes souffrant de graves maladies génétiques et d'étudier en détail les effets de ces maladies sur les cellules. En théorie, les cellules souches obtenues par cette méthode pourraient être utilisées pour cultiver des tissus de remplacement pour les femmes ayant développé certaines maladies. Paul de Sousa a déclaré à la réunion du BA que "pour le moment, nous n'avons pas réussi à obtenir de cellules souches à partir de ces embryons, mais cela reste notre ambition".

 

Certains scientifiques ont émis l'idée que l'utilisation de parthénotes dans la recherche pourrait éviter les objections des groupes pro-vie, mais vu les déclarations de consternation de ces groupes à la presse, Paul de Sousa ne partage pas ce point de vue et a déclaré que "toute personne ayant une perspective pro-vie considérera toujours l'utilisation d'ovules et d'embryons à des fins non reproductives comme inadmissible". Paul de Sousa a également souligné qu'il n'y a aucun projet d'implantation de ces embryons pour créer une grossesse et que, de toute manière, les termes de leur licence de recherche leur interdit de le faire.

 

D'autres voix ont exprimé des doutes pour des motifs techniques, prétendant que le degré de manipulation génétique requis pour réaliser la parthénogenèse rend cette voie vers les cellules souches embryonnaires inutilement complexe, au point que même le clonage d'embryons humains semblerait constituer une approche plus directe : Paul de Sousa pense cependant que, pendant les premiers stades de la recherche sur les cellules souches, les scientifiques doivent garder ouvertes plusieurs options possibles. "Nous voulons obtenir ces lignes de cellules principalement à des fins de recherche, a-t-il déclaré. Le clonage comme la parthénogenèse créent des cellules présentant des perturbations, et il est très possible que celles-ci signifient que les lignes de cellules souches clonées ne sont pas appropriées pour l'élaboration de modèles thérapeutiques ou de recherche".

 

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26 mai 2007 6 26 /05 /mai /2007 20:02

La plus grande centrale photovoltaïque au monde

 

Des sociétés sud-coréenne et allemande ont annoncé le 9 mai leur alliance en vue de la construction, en Corée du Sud, d'une centrale photovoltaïque appelée à devenir la plus grande au monde.

 

Dongyang Engineering and Construction Corp a indiqué qu'elle allait coopérer avec l'allemand SunTechnics en vue de la construction de la centrale d'ici novembre 2008 (à environ 400 kilomètres au sud-ouest de Séoul) pour un investissement de 169 millions de dollars.

 

L'installation, d'une superficie de 600.000m2 (soit 80 terrains de football), aura une capacité de production de 20MW. Elle devrait fournir 27GWh par an, soit l'équivalent de la consommation électrique de plus de 6.000 foyers, et permettre ainsi d'éviter, sur 15 ans, l'émission de 300.000 tonnes de CO2. La Corée du Sud, onzième économie mondiale, importe la totalité du pétrole qu'elle utilise.

 

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26 mai 2007 6 26 /05 /mai /2007 19:59

CO2

Evolution préoccupante du taux de CO2 dans l'atmosphère

 

Deux articles, publiés très récemment, révèlent des résultats préoccupants sur l'évolution du taux de CO2 présent dans l'atmosphère. Cette évolution est le résultat des émissions (combustibles fossiles, déforestation), pondérées par les puits de carbone (océans, écosystèmes continentaux) qui absorbent près de la moitié des émissions.

 

Selon une collaboration internationale les émissions du CO2 des combustibles fossiles ont augmenté plus rapidement que prévu. Ces analyses font l'objet d'un article publié dans Proceedings of the National Academy of Sciences. L'autre étude, publiée dans Science, menée par une équipe internationale de scientifiques spécialisés dans l'observation et la modélisation du cycle de carbone océanique et atmosphérique, démontre une saturation du puits de carbone dans l'Océan Austral.

L'intensification des vents dans cette zone, en brassant les eaux de surface avec celles des profondeurs, riches en CO2, limite la quantité de CO2 atmosphérique que l'océan est capable d'absorber. Ces deux résultats vont dans le sens d'une accélération de l'augmentation du CO2 atmosphérique au cours des prochaines décennies.

 


Un scénario pire que prévu

 

Les émissions du CO2 des combustibles fossiles, cause principale du réchauffement climatique, ont accéléré globalement à un taux bien plus grand que prévu, passant de 1,1 % par an dans les années 90 à 3% par an pour la période 2000 à 2005. Presque 8 milliards de tonnes de carbone fossile ont été émises globalement dans l'atmosphère en 2005, comparé à seulement 6 milliards de tonnes en 1995.
Chaque personne en Australie et aux Etats-Unis émet maintenant plus de 5 tonnes de carbone par an, pour 1,9 tonne en France, alors qu'en Chine, ce chiffre est seulement de 1 tonne par an. Depuis le début de la révolution industrielle, les Etats-Unis et l'Europe totalisent plus de 50 % du total des émissions globales accumulées depuis plus de deux siècles. La Chine, quant à elle, représente moins de 8 %. Les 50 pays les moins développés ont ensemble contribué à moins de 0,5 % des émissions cumulatives globales sur 200 ans.
L'augmentation des émissions de CO2 est plus alarmante que le pire scénario retenu par le GIEC, le groupe international d'experts sur l'évolution du climat.

 

 

Un puits de CO2 saturé

 

La seconde étude indique qu'il ne faut pas compter sur l'océan Austral pour absorber l'excès de CO2 émis dans l'atmosphère. Cette partie de l'océan absorbe chaque année environ 15 % du CO2 émis par les activités humaines mais l'étude indique que sa capacité à capter et stocker le principal responsable de l'effet de serre stagne.
C'est le changement climatique lui-même qui est responsable de cette stabilisation. Dans l'hémisphère sud, le réchauffement climatique et l'accroissement du trou d'ozone génèrent des variations de température ayant pour conséquence l'augmentation de la force des vents. Ces derniers soufflant plus violemment, ils brassent les eaux de surface avec les eaux océaniques profondes, riches en CO2, limitant ainsi le pompage par les eaux de surface du CO2 atmosphérique.

 

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25 mai 2007 5 25 /05 /mai /2007 23:03

La vie éternelle... vers 2050

 

L’immortalité, nous vous en parlions dans un dossier spécial précédent. Voilà que Ian Pearson, chef de l’unité de Futurologie de British Telecom, donne son avis sur cette fantasmatique projection, après avoir été interrogé par le magazine « The Observer ». « Il est réaliste de s’attendre à ce que l’on soit capable vers 2050 de charger le contenu d’un cerveau dans une machine, et ainsi la mort ne sera plus un problème » assure le futurologue. L’homme atteindrait ainsi l’immortalité en stockant sa « vie mémorielle » sur un ordinateur développant des très hautes performances. En revanche, ce procédé risque d’avoir un coût trop important pour que toutes les classes sociales puissent y accéder : « Si vous êtes pauvre, il vous faudra sans doute attendre 2075 ou 2080 pour que cela devienne une affaire routinière ». Cette ‘prédiction’ de Ian Person s’appuie notamment sur le développement des puces dotées de conscience, et donc capables de retranscrire notre existence sur ordinateurs. Une fois que la machine sera dotée d’émotions et de sentiments, tout devient possible ; imaginez un avion dont l’ordinateur de bord est encore plus terrifié qu’un être humain à l’idée d’un crash : il fera tout pour éviter l’accident et vous amener à bon port...

 

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25 mai 2007 5 25 /05 /mai /2007 22:57

Carcharodon carcharias 

 

Le megalodon est l'ancêtre du Carcharodon carcharias , le grand requin blanc. Il apparut au Crétacé vers - 100 millions à - 70 millions d'années. Sa disparition date de - 10000 ans, elle est énigmatique, des scientifiques supposent qu'il ne réussit pas à s'adapter à des proies plus rapides ou le refroidissement lui aurait été fatal.

Comparaison

le Megalodon :
*longueur 25 à 35 mètres
*poids 50 à 200 tonnes
*mâchoires 2 mètres d'ouverture
*taille des dents 15 à 20 centimètres de haut

le Carcharias :
*longueur 8 à 10 mètres
*taille des dents 5 centimètres

Des possibilités de sa survivance ont été avancé par des témoignages :
.En 1873, le navire océanographique anglais nommé HMS Challenger retrouva dans la fosse des Marianne des dents de requins de douze centimètres âgées seulement de 5000 ans.
. En mars 1954, le propriétaire du cotre australien Rachel Cohen fut percuté en pleine mer au large de Timor en Indonésie. En cale sèche à Adélaïde, le propriétaire retrouva planté dans la quille de bois dix-sept dents de requin blanc d'une dizaine de centimètres. La largeur d'ouverture de la mâchoire d'environ deux mètres permit de calculer la taille du requin : 24 mètres.
. en 1980, un requin blanc de 27 mètres aurait été aperçu au large du Queensland et de la Nouvelle Galles du Sud.

 

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