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31 décembre 2007 1 31 /12 /décembre /2007 15:50

BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2008 A MON AMIE DIDINE67

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31 décembre 2007 1 31 /12 /décembre /2007 15:16

Je vous souhaite à toutes et à tous les plus belles choses pour cette année 2008

Musique et danse avec

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14 décembre 2007 5 14 /12 /décembre /2007 14:56

Vos visites sur mon blog :

C’est plus de 140 visiteurs par jours,

C’est plus de 700 pages vues en 1 journée.

Merci à vous !!!

Passez toutes et tous une très bonne fin d’année.

 

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13 décembre 2007 4 13 /12 /décembre /2007 21:52

stp petit papa Noël

Pour les fans de Mac, de l’or, des diamants, les ingénieurs de Computer Choppers se sont fait plaisir avec cette customisation unique plaqué or d'un Macbook Pro.

 

 

Je n’ai pas le prix de vente, surement élevé mais bon en cette période de noël, on peut rêver.

Oui, le logo Apple est bien serti de diamants.

Un peu plus raisonable et utile.

Le petit laptop humanitaire OLPC XO, se porte bien et va faire des heureux avec sa formule de vente au particulier pour une courte période à partir du 12 novembre : Pour 399$, on en achète deux : un pour soi, et un qui sera envoyé à enfant dans un pays en développement, un luxe un peu plus utile.

Le site qui vous dit tout:

http://laptop.org/

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13 décembre 2007 4 13 /12 /décembre /2007 21:45

MAEDE le fabricant de télescope, nous propose ce « planétarium portable ».

 

Choisissez un point lumineux dans le ciel, pointez le « MYSKY » dans cette direction.

 

Il a dans sa base de données, pas moins de 30.000 objets du ciel pour l'afficher sur son écran LCD couleur intégré (480*234 pixels). Pour ce faire, il aura recours à son GPS ultra précis (12 canaux), à des aimants boussole et à des accéléromètres pour se situer. Vous disposerez ainsi d’un grand nombre d’information.

 

Le mySky dispose aussi d'une sortie pour les écouteurs)  puis pour stocker le fruit de vos recherche et ne as perdre la trace des astres récemment découverts dans le ciel, vous pourrez utiliser le port USB du mySky avec l'ordinateur pour télécharger les mises à jour d'Internet.

 

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25 novembre 2007 7 25 /11 /novembre /2007 12:26

La chouette 

 

La chouette est sculptée sur le contrefort ouest de la chapelle édifiée au XVè siècle par la riche famille Chambellan (église Notre-Dame de Dijon).

 

C'est une petite chouette très usée qui connaît un immense succès populaire. Nombre de Dijonnais, jeunes et vieux, la caressent de la main gauche en faisant un voeu. Elle est un porte-bonheur dont on a perdu l'explication d'origine.

 

Son existence fait également l'objet de nombreuses interprétations.
Voici la première que l'on peut avancer : la chouette symbolise, dans l'Antiquité, la sagesse. C'est d'ailleurs l'oiseau choisi par Athéna, la déesse de la sagesse, car la chouette reste éveillée et voit clair dans les ténèbres. L'église Notre-Dame de Dijon, au Moyen-âge, est celle de la municipalité et les maires sont des hommes logiquement raisonnables et sages

 

Une autre interprétation plus proche de la symbolique chrétienne est également possible. Les chrétiens du Moyen Age considèrent que les Juifs, à l'instar des oiseaux nocturnes, préfèrent les ténèbres à la lumière de l'Evangile. Cette chouette qui, dans ce cas, symbolise les Juifs, est placée au nord de l'église (face sans soleil, sans lumière) et à l'extérieur du sanctuaire catholique (rejet du judaïsme). Un autre fait peut appuyer cette interprétation : Notre-Dame est entourée, au Moyen Age, d'un marché et la seule activité permise aux juifs à cette époque est le commerce de l'argent.

 

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25 novembre 2007 7 25 /11 /novembre /2007 11:57

je m'absente jusqu'à la fin de la semaine; une petite legende pour vous faire patienter. A très bientot

Thème choisi pour quelqu'un qui se reconnaîtra .

Les fées et le géant

 

En ce temps-là, dans tout le pays de Galles, il n'y avait pas une région où il y eût plus de fées que la vallée de Rhymney. Et c'est là qu'elles se trouvaient le plus heureuses. Les nuits où la lune brillait dans le ciel, on les voyait danser et chanter joyeusement sur la lande, et les habitants du pays se seraient bien gardés de leur causer le moindre tort tant elles étaient estimées et répandaient leurs bienfaits à ceux qui étaient dans le besoin.
Or, il arriva qu'un cruel géant vint s'installer à Gilfach Fargoed, juste au-dessus de la vallée. Sa demeure était une haute tour entourée d'un grand jardin dans lequel nul ne pouvait pénétrer car il était gardé par un redoutable serpent venimeux. Mais le géant, lui, s'en allait toutes les nuits, armé de sa terrible massue, pour chercher des proies dans les alentours. Quand il rencontrait une fée, il la tuait et la mangeait. Aussi, on n'entendit plus le chant des fées et on ne les vit plus danser au clair de lune comme autrefois.
Il y avait, dans le village, un jeune garçon, qui avait perdu son père et sa mère, et qui avait depuis longtemps échafaudé un plan pour se débarrasser du géant. Un jour, il se décida et s'en alla trouver la reine des fées. Parce qu'il était lui-même de la race des fées, il connaissait le langage des oiseaux, et, après avoir mûri son plan avec la reine, il s'en alla, une nuit très sombre, pour consulter une chouette qui vivait dans le tronc d'un chêne dans le grand bois de Pencoed. Cette chouette, qu'on appelait Bedwellte, était très vieille et elle avait la réputation de savoir tous les grands secrets du monde. Le jeune homme lui expliqua la situation et lui demanda son assistance. La chouette promit de l'aider à triompher du géant.
Le géant avait en effet l'habitude de rencontrer, presque chaque nuit, sous un grand pommier qui se trouvait près de sa demeure, une sorcière à qui il faisait sa cour. Et pendant qu'il faisait sa cour, il ne se méfiait de rien, tant il était amoureux de la sorcière. Il s'agissait donc d'obtenir la complicité de tous les oiseaux qui craignaient le géant pour que ceux-ci pussent aider la chouette à attacher un arc et une flèche sur une branche du pommier. Alors, pendant que le géant ferait sa cour, la chouette tirerait une flèche contre lui.
Dès que le plan fut mis au point entre le jeune homme, la chouette et les oiseaux, on guetta le géant. Or, une nuit, comme le géant s'était rendu à son endroit habituel, sous le pommier, et qu'il y attendait la sorcière, il s'endormit parce que celle-ci ne venait pas. Profitant de ce sommeil, la chouette fit partir la flèche et celle-ci pénétra dans la poitrine du géant et le tua net. Alors, la chouette prit son envol et retourna vers le bois de Pencoed, en poussant des hululements de joie.
La sorcière arriva peu de temps après sur le lieu du rendez-vous. Elle y trouva le géant mort et s'en étonna grandement. Mais comme son esprit était uniquement préoccupé par le géant, elle n'entendit pas approcher les oiseaux qui, n'ayant désormais plus rien à craindre du géant, se précipitèrent sur elle et la transpercèrent de leurs becs acérés. Ainsi fut tuée la sorcière maudite, mais avant de mourir, elle avait eu le temps de lancer une malédiction : elle jura que, désormais, toutes les pommes de l'arbre sous lequel avait été tué le géant, ainsi que toutes les pommes des mêmes arbres, en dehors de ce jardin, feraient grincer des dents à tous ceux qui en mangeraient. Et c'est depuis ce temps-là que les fruits des pommiers sauvages sont aigres.
Quand il vit que le géant et la sorcière étaient morts, le serpent qui gardait le jardin eut une si grande peur qu'il se tordit sur lui-même et mourut. Le jeune homme l'enterra, et sur le sol dont il le recouvrit, il planta des fleurs qui sont, depuis lors, connues sous le nom de blodau'r neidr, c'est-à-dire « fleurs de serpent ».
Le géant possédait d'immenses richesses d'or et d'argent dans sa maison. La reine des fées accompagna le jeune homme à l'intérieur et ils les découvrirent. Alors, la reine des fées partagea le trésor et les distribua à toutes les fées. Une douzaine d'entre elles décidèrent de s'établir près de la demeure du géant, mais elles ne purent pas y rester longtemps à cause de la puanteur répandue par le cadavre du monstre. Elles creusèrent une grande fosse pour l'y enterrer, mais là encore, elles ne purent mener leur travail à terme à cause de la mauvaise odeur.
L'une des fées suggéra de brûler le cadavre et d'en disperser les cendres au vent. C'est donc ce qu'elles convinrent de faire. Mais une fois qu'elles eurent mis le feu au corps du géant, les flammes devinrent si violentes qu'elles débordèrent de la fosse et se mirent à brûler tout dans les alentours. Les fées durent en hâte aller chercher de l'eau pour éteindre le brasier. Quand tout fut terminé, elles s'aperçurent que les côtés de la fosse étaient faits d'une pierre noire et brillante comme du cristal. Elles en prirent des parties et les emmenèrent dans leurs demeures, et là, elles comprirent que cette pierre noire constituait un excellent combustible pour faire du feu et se chauffer. Et l'on raconte que c'est ainsi que furent découverts les filons de charbons qui se trouvent dans la vallée de Rhymney.
Quant à la chouette, après la mort du géant et de la sorcière, elle prit l'habitude de venir, chaque nuit où la lune était claire, du grand bois de Pencoed à Gilfach Fargoed, pour faire la fête avec les fées. De nos jours, leurs descendants sont toujours là, et, pour commémorer l'événement, ils allument des feux sur la lande, au-dessus de la vallée de Rhymney, et ils dansent toute la nuit en chantant joyeusement.

 

 

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24 novembre 2007 6 24 /11 /novembre /2007 14:04

La grotte de Remus et Romulus enfin découverte

La caverne où, selon la légende, la louve allaita les jumeaux, se trouve au coeur de la partie sacrée du mont Palatin.

 

 

L’ornementation de la voûte, avec fresques géométriques et coquillages, datée du premier siècle avant Jésus-Christ.

 

 

Un des mythes majeurs de l’histoire de Rome devient réalité:

Les archéologues ont mis au jour le Lupercal tel que décrit par les auteurs antiques.

Sur les pentes herbeuses du Palatin En sondant le terrain argileux pour chercher à consolider les fondements du palais d’Auguste, les archéologues romains ont découvert par hasard ce qu’ils estiment être sans grand risque d’erreur la caverne où la louve allaita Remus et Romulus. Le lieu correspond aux écrits des Anciens : il se trouve au cœur du Germanum, la partie la plus sacrée du Palatin, en bordure du palais monumental qu’Auguste, qui se proclamait le nouveau Romulus, avait fait édifier face au Circus Maximus (le Circo Massimo de nos jours), tout à côté de l’église consacrée à saint Anasthase.

C’est une caméra laser qui a permis de faire cette découverte. Les archéologues avaient percé un puits de forage d’une trentaine de centimètres de diamètre pour explorer le terrain. Grande a été leur surprise de découvrir à sept mètres de la surface un grand hypogée circulaire dont la voûte était décorée de dessins de coquillages et de fresques géométriques avec un aigle blanc peint sur un ciel bleu au plafond. Cet ensemble polychrome remonte au temps d’Auguste, c’est-à-dire au premier siècle avant Jésus-Christ.

Dieu des troupeaux

Le Lupercal, autrement dit la grotte mythique où se serait échouée la nacelle en osier des deux jumeaux abandonnée aux caprices du Tibre, se trouve en contrebas, à environ quinze mètres de la surface. L’ensemble mesure 6,56 mètres mètres de haut. Lupercus était le dieu des troupeaux,de diamètre et 7,13 mi-loup, mi-bouc, qui rendait les femmes fécondes et protégeait les maternités. Les Romains de l’Antiquité lui rendaient hommage le 15 février de chaque année lors de fêtes qui se déroulaient non loin du lieu où la grotte a été découverte.

Selon la légende, Remus et Romulus seraient nés des amours secrètes entre la vestale Rea Silvia et le dieu Mars. L’oncle de la jeune femme, Amilius, qui avait renversé et tué son frère Numitor pour s’emparer de son trône, la fit mettre à mort et ordonna de noyer les deux enfants. Sauvés des eaux par les dieux, les jumeaux furent allaités par une louve et élevés plus tard par un berger. Après avoir lui-même tué son frère Remus lors d’une rixe sur l’Aventin, Romulus fonda la ville de Rome en 753 avant Jésus-Christ. La première pierre de l’enceinte, de couleur noire, se trouve sur les forums romains, au pied du Capitole.

Le premier écrivain qui a parlé de la grotte est un certain Dionigi di Alicarnasso, historien et enseignant de rhétorique grecque, contemporain d’Auguste : il la situait au pied du Palatin, non loin du Tibre qui débordait fréquemment à l’époque sur le Circus Maximus. Varron, Tite-Live, Ovide, Virgile, Plutarque l’évoqueront à leur tour, sans être toutefois en mesure de localiser son emplacement précis. On la situait plutôt du côté du Velabre, à quatre cents mètres de là. 

 C’est incroyable de l’avoir retrouvée », s’est émerveillé mardi le ministre des Biens culturels, Francesco Rutelli, en annonçant la découverte. « Nous avons la certitude raisonnée qu’il s’agit bien de la grotte de la louve », a renchéri le surintendant à l’archéologie, Angelo Bottini. La responsable des fouilles du Palatin, Irène Iacopi, la situe dans « un milieu géologique conforme aux descriptions d’Alicarnasso », sur une pente où surgissaient de nombreuses sources. Pour le professeur Andrea Carandini, une sommité de l’archéologie, il s’agit « d’une des plus grandes découvertes jamais faites ».

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23 novembre 2007 5 23 /11 /novembre /2007 03:37

structures englouties de Yonaguni

 

En 1985 un voyagiste de plongée, Kihachiro Aratake, alors qu’il plonge voir des requins au large des côtes les plus au Sud de l’île japonaise Yonaguni Jima, découvre des structures énigmatiques. Le professeur Masaaki Kimura, de l’Université de Ryukyus à Okinawa (Japon), étudie les structures pendant plusieurs années, et acquiert
la conviction qu’elles sont de fabrications humaine.

Ici un site très complet sur ces stuctures.

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22 novembre 2007 4 22 /11 /novembre /2007 10:45

Cette chanson populaire a été recueillie par Gérard de Nerval qui la rendra célèbre en la publiant dans le Sylphide en 1852. On estime que cette histoire est née à l'époque des premières croisades. Le miracle de cette chanson est inconnu en orient.

 

IMAGE D'EPINAL
Les trois petits enfants

 


Ils étaient trois petits enfants
Qui s'en allaient glaner aux champs.

 

S'en vont un soir chez le boucher:
- Boucher voudrais-tu nous loger ?
- Entrez, entres petits enfants,
Y'a de la place assurément.


Ils n'étaient pas sitôt entrés, 
Que le boucher les a tués.
Les a coupés en p'tits morceaux,
Mis au saloir comme des pourceaux.

Saint Nicolas au bout d'sept ans
Vint à passer dedans ces champs,
Alla frapper chez le boucher:
- Boucher, voudrais-tu me loger ?

- Entrez, entrez, Saint Nicolas,
Il y a d'la place, y n'en manque pas !
Il n'était pas sitôt entré
Qu'il a demandé à souper.

Voulez-vous un morceau de veau ?
Je n'en veux pas, il n'est pas beau !

Voulez-vous un morceau d' jambon?
-Je n'en veux pas, il n'est pas bon !
Du petit salé, je veux avoir

 

Qu'y a sept ans qu'est dans le saloir !

Dès qu'le boucher entendit ça,
Hors de la porte, il s'éclipsa.

 

Boucher, boucher, ne t'enfuis pas !
Repens-toi, Dieu te pardonnera !

Saint Nicolas alla s'asseoir
Dessus les bords de ce saloir.

Petits enfants qui dormez là
Je suis le grand Saint Nicolas,
Et le saint étendit trois doigts,
Les p'tits se r'lèvent tous les trois

Le premier dit : J'ai bien dormi !
Le second dit : Et moi aussi !
Et le troisième, le plus petit :
Je croyais être au Paradis !


 

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