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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 19:44

La Chine , tueuse de satellite  
L
es Chinois viennent de procéder à un tir d’essai d’un missile antisatellite. Va-t-on vers une relance de la « guerre des étoiles » ?
La menace de guerre orbitale vient de gravir un nouvel échelon : le 11 janvier, la Chine a réalisé un test d’arme antisatellite (Asat). Un missile balistique a détruit un ancien satellite météo, le Feng Yun 1C, qui orbitait à plus de 800 km au-dessus de la base de lancement de Xichang (Sichuan).

 

Ce sont les Américains, via l’hebdomadaire Aviation Week et la Maison-Blanche , qui ont annoncé l’événement le 17 janvier. La Chine s’est ensuite contentée de confirmer le test d’un missile « expérimental ». Pour le reste, la presse est restée muette, et les autorités chinoises se sont gardées de toute tentative d’habillage idéologique.
Les Etats-Unis ont vivement condamné l’essai, tandis que les Indiens annonçaient, dès la fin janvier, qu’ils allaient se doter d’un centre de commandement de défense spatiale, pour se protéger contre d’éventuelles attaques orbitales. Le test chinois prouve en tout cas que l’empire du Milieu possède des capacités de surveillance des satellites qui passent au-dessus de son territoire. Déjà, l’an passé, les Chinois avaient ciblé un satellite américain avec un laser.
Au-delà des enjeux militaires, la destruction de Feng Yun a créé une véritable pollution orbitale. Dès le 18 janvier, les Américains ont catalogué 32 débris, et il est probable que des milliers de petits morceaux occupent désormais l’ancienne orbite du satellite. La Chine expose ainsi au monde ses contradictions : d’un côté, elle affiche une volonté de réduction des débris spatiaux, de l’autre, elle disperse une poubelle entière en une nuit. De même, elle vient de réaffirmer son attachement à une utilisation pacifique de l’espace, tout en testant un dispositif clairement militaire.

 

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5 mars 2007 1 05 /03 /mars /2007 10:15

 

E85 : Rouler ou manger

 

 

Mais c’est une imposture ! Il faut la dénoncer avant qu’il ne soit trop tard.

 

Au secours ! On veut nous faire avaler une couleuvre ! On cherche à nous faire croire que le « pétrole vert » est bio. Ainsi parle-t-on de « biocarburant » Et bien non seulement il ne l’est pas, vu l’utilisation outrancière de pesticides qu’il nécessite, mais en plus il vole le bol alimentaire des plus pauvres et fait même une hécatombe en rasant les dernières forêts tropicales.

 

On nous fait croire que les « biocarburants » sont écologiques, mais rien n’est plus faux.

 

En France, le gouvernement prévoit d’introduire un plus grand pourcentage d’huile de colza et de tournesol dans le carburant noir. De plus, 500 pompes de bioéthanol E85 doivent être implantées dans l’hexagone d’ici la fin 2007.

 

L'E85 n’est pas un carburant 100 % agricole, puisque composé de 85 % d'éthanol (un alcool qu'on produit à partir de betteraves ou de céréales) avec 15 %d'essence, mais déjà très satisfaisant, et pompeusement surnommé Bio-Ethanol.

 

La consommation d'E85 réduit en effet les émissions de CO2 de 70 %. Ce nouveau carburant est réservé aux véhicules dont la carburation est prévue à cet effet. Des modèles à double carburation, dit « flexibles », devraient être commercialisés sous peu en France.

 

Les cultures agricoles nationales destinées à  nos voitures ne suffiront bien sûr jamais à remplacer le pétrole. Sinon que mangerions-nous ? Nous devrons donc importer ce carburant dit « vert », par exemple du Brésil qui défriche à tout va sa forêt primaire pour satisfaire la demande mondiale grandissante. De même Sumatra et Bornéo, derniers îlots de nature vierge, sont en train de se transformer en cultures intensives de palmiers dont l’huile peut être utilisé comme carburant.

 

De la folie ! Bonjour le « biocarburant » ! Dévaste tout, fait le vide autour de lui.

 

Lorsqu’il n’y aura plus de pétrole, en 2050, on nous annonce également 9 milliards de bouches à nourrir.

 

 

 

 

 

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5 mars 2007 1 05 /03 /mars /2007 09:59

De la matière organique extraterrestre trouvée dans une météorite

 

 

Des chercheurs du centre Johnson de la NASA ont récemment découvert qu’une météorite recelait de traces de matière organique, qui se serait formée aux confins de notre système solaire.
Cette étude a été menée sur une météorite récoltée sur les bords du lac Tagish au Canada, qui a la particularité d’avoir été ramassée très peu de temps après avoir pénétré notre atmosphère, et qui a depuis lors été gelée et conservée dans un environnement stérile afin de minimiser la contamination par des composés terrestres.
Deux nouveaux instruments du centre spatial Johnson ont été utilisés pour analyser cette météorite : un microscope électronique pour fournir des détails précis des globules observés, et un spectromètre de masse destiné à analyser leur composition isotopique.

 

Cette dernière a révélé que les composés carbonés contenus dans cette météorite possédaient des isotopes de l’hydrogène et de l’azote tout à fait inhabituels et d’origine extraterrestre.
Les recherches menées sur ce type de météorite pourraient à terme permettre de comprendre comment la vie a germé sur notre planète.

 

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4 mars 2007 7 04 /03 /mars /2007 21:22

la pile à hydrogène

 

 

 

 

La pile à combustible peut intervenir dans une large gamme de températures, de 70°C à 1000°C. Selon la température retenue, la nature de l’électrolyte et les électrodes, les réactions chimiques intermédiaires mises en jeu varient mais le principe général reste le même.
En élevant la température, les réactions sont plus rapides, ce qui accroît le débit de la pile, mais les problèmes techniques spécifiques liés aux hautes températures limitent ces aspects

 

 

Les piles qui utilisent du dihydrogène pur comme combustible ne rejettent que de la vapeur d'eau, et disposent d'un rendement élevé car elles assurent en une seule étape le passage de l'énergie chimique à l'énergie électrique.

 

 

Le dihydrogène et le dioxygène utilisés peuvent être fabriqués par électrolyse de l'eau. On peut aussi utiliser le dioxygène de l'air.
Lors de l’électrolyse de l’eau les réactions qui se produisent aux électrodes sont inverses de celles de la pile

Schéma de principe d'une pile à électrolyte polymère solide
(type PEMFC : Proton Exchange Membrane Fuel Cell)

 

 

     

 Principe de la pile à hydrogène 

 

 

La pile à hydrogène est une pile à combustible utilisant le dihydrogène et le dioxygène. Il s’agit d’une combustion électrochimique et contrôlée de dihydrogène et de dioxygène, avec production simultanée d’électricité, d’eau et de chaleur, selon la réaction chimique de fonctionnement de la pile :
        2 H2 (g) + O2 (g)  = 2 H2O (l)

 

 

Pour mettre en oeuvre cette réaction, on dispose de deux électrodes l’anode et la cathode séparées par un électrolyte (milieu bloquant le passage des électrons mais laissant circuler les ions). Cette réaction est déclenchée en utilisant un catalyseur, en général du platine.

A la cathode, pôle positif de la pile, le comburant mis en jeu est toujours le dioxygène du couple
O2 (g)/ H2O (l), selon la demi-équation électronique : O2 (g) + 4 H+ (aq) + 4 e-   =  2 H2O (l)

A l'anode,  pôle négatif de la pile, le combustible utilisé est le dihydrogène H2 du couple
H+ (aq) / H2 (g), selon la demi-équation électronique :  H2 (g) = 2 H+ (aq) + 2 e-

 

 

 

Pour en savoir plus sur le principe de fonctionnement d'une pile de type PEMFC, consulter l'animation en ligne sur le site du Commissariat à l'Energie Atomique (rubrique "Espace-jeunes ; science animée"): http://www.cea.fr/fr/pedagogie/science.htm

 

 

 

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4 mars 2007 7 04 /03 /mars /2007 15:23

La menace d'une nouvelle sécheresse plane sur la France

 

La sécheresse menace à nouveau en France où le manque de pluie, surtout dans le sud du pays, n'a pas permis jusqu'alors de recharger correctement les nappes phréatiques.

 

"L'année 2007 s'annonce difficile", a averti jeudi Nelly Olin, ministre de l'Ecologie, après avoir réuni le premier "comité sécheresse" de l'année.

 

Depuis 2003, année de la canicule, la France traverse régulièrement des périodes de sécheresse plus ou moins importantes.

 

"L'ensemble des nappes commence à souffrir du cumul de ces sécheresses", a commenté Pascal Berteaud, directeur de l'eau au ministère de l'Ecologie.

 

Les nappes d'eau souterraines, utiles pour irriguer les cultures au printemps et en été, se rechargent principalement entre les mois de septembre et de mars.

 

Or, le niveau de pluviométrie moyenne depuis septembre se situe en dessous de la normale. Le déficit est même particulièrement important dans les Pyrénées et en Languedoc-Roussillon.

 

Une bonne moitié de la France connaît actuellement un important déficit en "pluies efficaces", celles suffisamment importantes pour pénétrer dans le sol et alimenter les nappes et les cours d'eau, essentiellement en automne et en hiver quand la végétation, au repos, laisse l'eau s'infiltrer.

 

L'Ile-de-France, le bassin Adour Garonne, la vallée du Rhône, le pourtour méditerranéen et la partie ouest de la Corse , accusent déjà un déficit supérieur de 70% par rapport à la normale, selon le ministère.

 

La recharge des nappes est "timide ou inexistante", notamment sur celles du bassin parisien, de Champigny et de la Beauce et autour de Lyon.

 

Fin janvier, le débit des cours d'eau était de 50% inférieur à la normale sur la moitié sud du pays.

 

"Au cours du mois de février, les précipitations ont été excédentaires sur la quasi-totalité du territoire. Seules les régions méditerranéennes à l’est de l’Hérault ainsi que l’est de la Corse présentent un déficit pluviométrique important", indique toutefois Météo France sur son site internet.

 

Mais la faiblesse du manteau neigeux en montagne, surtout dans les Pyrénées, est inquiétante, la fonte des neiges au printemps étant essentielle pour alimenter les cours d'eau.

 

"La situation est comparable à celle de 2005, a commenté Mme Olin, sauf pour la Bretagne et les Pays de la Loire ", qui sont un peu mieux lotis.

 

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4 mars 2007 7 04 /03 /mars /2007 15:05

Un requin préhistorique.

 

Un pêcheur japonais a eu la frayeur de sa vie dimanche dernier en voyant émerger une gueule préhistorique aux dents acérées. Il a aussitôt prévenu l'équipe du Parc Marin d'Awashima, au sud de Tokyo. 

 

Une fois sur place, les spécialistes ont eu la surprise d'identifier une représentante de l'espèce Chlamydoselachus anguineus, ou, en français, requin lézard, un monstre à mi-chemin entre le grand blanc et la murène.

 

Cette espèce fossile, qui n'a pas changé depuis des millions d'années, vit habituellement à plus de 600 mètres de profondeur. Si certains spécimens ont été attrapés à la palangre, les requins lézards vivants sont rares.

 

Et en filmer un est une occasion unique que les Japonais n'ont pas manqué. Mais cette femelle de 1.6 mètres, probablement malade, est morte peu de temps après.

 

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4 mars 2007 7 04 /03 /mars /2007 14:54

Robot, un cocktail et l'addition!

TOKYO (Reuters) - Une université japonaise a mis au point un barman et un serveur humanoïdes capables de concocter des cocktails bien frais, de les servir avec style puis, miracle, de faire la vaisselle.

 

Les deux robots, baptisés HRP-2 n°7" et n°8, travaillent en équipe pour servir les boissons et ramasser les verres vides. Ils ont également la capacité d'ouvrir un robinet et de remplir un récipient.

 

Même s'ils prennent leur travail très au sérieux, les résultats ne sont pas toujours au rendez-vous et aus

 

si bien n°7 que n°8 renversent régulièrement les consommations des clients. Ils doivent ainsi porter des gants de cuisine imperméables pour se protéger les mains.

 

Les ingénieurs de l'université de Tokyo à l'origine du projet envisagent désormais de les programmer pour débarrasser une table, charger une machine à laver et plier le linge.

 

"Ils peuvent être une vraie bénédiction pour les couples dans lesquels l'homme et la femme travaillent parce qu'ils s'occupent des tâches ménagères pendant que vous êtes absent", assure Masayuki Inaba, le père des deux robots.

 

La mise au point d'un seul robot coûte actuellement 50 millions de yens (325.000 euros), un coût qu'Inaba espère significativement réduire d'ici dix ans.

 

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4 mars 2007 7 04 /03 /mars /2007 14:51

Détection d'une galaxie en pleine transformation,

 

la "galaxie comète"

 

MARSEILLE (AFP) - Une équipe internationale de scientifiques dont un chercheur du Laboratoire d'astrophysique de Marseille vient de détecter une galaxie en train de se faire "dénuder" de son gaz et de ses étoiles, surnommée "la galaxie comète", a annoncé vendredi l'Observatoire astronomique de Marseille Provence.

 

"L'étude de cette galaxie, effectuée à partir d'observations réalisées avec le télescope Hubble et une kyrielle d'autres télescopes et satellites, apporte un nouvel éclairage sur le mystérieux et long mécanisme de transformation des galaxies au sein des amas de galaxies", selon le communiqué. Elle "pourrait permettre d'expliquer le processus de formation des millions d'étoiles isolées au centre des amas".

L'équipe qui a réalisé cette découverte, pilotée par Luca Cortese de l'Université de Cardiff (Grande-Bretagne), a étudié l'amas de galaxies Abell 2667 pour réaliser ses observations sur cette "galaxie-comète", ainsi nommée en raison de la traînée de gaz et d'étoiles dans son sillage. Les résultats de l'étude ont été publiés dans les Monthly Notices of the Royal Astronomical Society.

"
Au cours de ce formidable plongeon au coeur d'Abell 2667, les étoiles et le gaz de cette galaxie sont littéralement éjectés, donnant naissance à une longue traînée de nuages de gaz bleu lumineux et de jeunes étoiles, ressemblant à une queue de comète", explique Jean-Paul Kneib, membre de l'équipe et chercheur au Laboratoire d'astrophysique de Marseille (UMR CNRS/Université de Provence) cité par le communiqué.

"
Avec la galaxie comète, nous obtenons pour la première fois une information sur une des premières étapes de ce processus de transformation qui ne dure probablement que quelques centaines de millions d'années, étape au cours de laquelle une importante formation d'étoiles est déclenchée", selon le texte.

Photo prise par le télescope Hubble de la Voie lactée en octobre 2006 (© AFP/Nasa/Archives

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3 mars 2007 6 03 /03 /mars /2007 23:38

La NASA révèle la "maison témoin" gonflable d'une base lunaire

 

 

L'habitat gonflable et son sas                       L'habitat, de 3,65 m de diamètre

 

Lors de leurs futures missions sur la Lune, les astronautes resteront sur la surface de notre satellite bien plus longtemps qu'ils ne l'ont fait durant les missions Apollo. Ils auront donc besoin d'un abri sûr et "confortable" pour vivre.

 

Selon les projets de la NASA, des êtres humains fouleront le sol de la Lune à partir de 2020. Le premier équipage pourrait être composé de quatre personnes et ne séjournera qu'environ une semaine, mais avec le temps, alors que la base lunaire s'étendra, de plus en plus d'astronautes resteront de plus en plus longtemps (missions de deux semaines, puis de deux mois), pour finalement aboutir à des missions qui pourront durer jusqu'à 180 jours. L'objectif ultime étant de se préparer et de s'entraîner pour des missions forcément de très longues durées sur Mars.

 

L'agence a récemment dévoilé un prototype de module lunaire gonflable dans lequel les astronautes pourront s'abriter. Cette structure gonflable mesure 3,65 mètres de diamètre et est constituée de couches superposées de tissu.
Au cours des années à venir, les ingénieurs testeront cet habitat gonflable, pour voir s'il est suffisamment résistant, suffisamment spacieux et s'il procure une protection adéquate contre les radiations afin de doter les astronautes d'un bon abri sur la Lune. Il est prévu d'élaborer et de tester des habitat rigides      

                                                          Vue du sas d'entrée

 

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3 mars 2007 6 03 /03 /mars /2007 13:18
A la recherche du temps perdu

 

N’importe qui en possession d'une montre a l'impression d'avoir la maîtrise du temps. Erreur! Le temps est une affaire d'horloges atomiques si précises... que la Terre n'arrive pas à suivre.
Déjà, il n'est pas facile de tenir un calendrier quand on sait que la Terre accompli son orbite autour du Soleil en 365,2425 jours.
Jules César a tenté d'harmoniser le calendrier en créant l'année bissextile tous les quatre ans. Mais le système n'est pas tout à fait précis et il faut l'ajuster en supprimant trois années bissextiles (la prochaine en 2100) tous les quatre siècles. Vous me direz, c'est pas la fin du monde mais tout de même.

 

Seconde intercalaire

 

À notre époque de performance, l'unité de mesure du temps, c'est la seconde atomique, qui sans être radioactive, est drôlement précise.
Cette unité de base a été établie dans les années 50 à partir d'observations astronomiques. Mais les physicien disputent maintenant aux astronomes le contrôle du temps.
En effet, on découvre, depuis qu'on a des instruments de mesure plus précis, que les jours semblent un micro poil plus longs que jadis à cause de l'effet de friction des marées qui ralentit la rotation de la Terre. Et quand la Terre tourne moins vite, les jours sont plus longs.
Si bien que, pour garder le rythme, les scientifiques ont été obligés d'introduire des secondes intercalaires, de petites fractions de temps qu'on glisse comme ça sans crier gare. La chose est pourtant prise avec un grand sérieux. Chaque saut de seconde étant décidé par le Service international de rotation terrestre (International Earth Rotation Service ou IERS) dont le bureau central est basé à Paris. La dernière seconde intercalaire a été insérée le dernier jour de décembre 1998. Il serait possible qu'on ajoute une autre seconde intercalaire au milieu de cette année. Ce serait la 33e depuis l'instauration du système en 1972.

 

À la seconde

 

Comment arrive-t-on à la conclusion qu'il manque une seconde ? Bêtement, en comparant les données des laboratoires de physique qui gèrent les horloges atomiques et les observatoires astronomiques qui s'occupent du temps sidéral. Cette comparaison permet de constater un écart d'une seconde environ tous les 500 jours.
Vous me direz qu'on se donne bien du mal pour une malheureuse seconde mais la mesure du temps est maintenant une composante essentielle d'un grand nombre de technologies.
L'abandon de la seconde intercalaire pourrait, pense-t-on, provoquer des bogues informatiques Certains s'inquiètent d'ailleurs du fait que le système de positionnement par satellites GPS ne tienne pas compte des secondes intercalaires. De ce fait, le système GPS compte déjà un retard de 32 secondes par rapport au temps réel.
Pour ceux qui ne sont pas à la minute près, évidemment cette seconde passe inaperçue. Après tout, les montres bracelets peuvent facilement cumuler un écart d'une quinzaine de minutes par an par rapport au temps réel...

 

 

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